Chez Montaigne

Alors là, amis Unilocaleurs, je né comprends pas vos critiques.
L’accueil est très professionnel pas ultra chaleureux, mais on né leur demande pas non plus de nous embrasser!
J’y suis allé par une réservation «resto last minute», on nous a accueillis comme il se doit. Notre table était idéalement située. Mais nous avons préféré nous poser en terrasse, ce qui s’est fait sans le moindre problème et on nous a même proposé de pouvoir revenir à l’intérieur si nous avions trop froid par la suite…
Côté assiette: pas de suggestion aujourd’hui. Nous nous concentrons sur la carte; réduite mais complète!
Ce sera :
En entrée: asperges meunière, gravlax et carpaccio de bœuf fumé.
En plat: 2 suprêmes de poulet et un faux filet de bœuf avec pommes de terre rôties à la moelle.
En dessert: tarte aux 2 citrons meringuée, macaron au caramel salé et composition à la pomme.
En vin: un Croze Hermitage suivi d’un portugais d’excellente facture car plus aucun vin du sud de la France!!!
Le tout: un délice! Excellent accord de saveurs.
Le prix: tout à fait correct pour ce qu’on reçoit!
Le décor est épuré mais chaleureux et soigné, même s’il n’est pas du goût de tout le monde. La terrasse est très agréable et les sièges particulièrement confortables.
Conclusion: les avis sont très (trop) sévères pour ce petit bijou de la place Brugmann.
J’y reviendrai sûrement!

Ya une nouvelle app pour smartphone (RestoLastMinute) qui est bien utile puisqu’elle permet de réserver une table le soir-​même avec une réduction pouvant aller jusque 30%. Je trouve le concept top et serai ravi que Unilocal fasse des partenariats avec certains restaurants histoire de favoriser leur fréquentation (des fois en baisse) ou de remplir certaines tables restées vides.
Toujours est-​il que ce sont ces fameux 30% sur l’addition qui nous on donné envie de pousser la porte de «Chez Montaigne» — vide au moment de notre arrivée — une adresse assez récente ouverte aux abords de la très parisienne place Brugmann à Ixelles.
Le cadre est celui d’une brasserie moderne. Des banquettes en cuir noir et chaises assorties. Des luminaires individuels par table en demi-​sphères chromées rappelant les années 70, quelques touches de rouge ça et là mais surtout une splendide fresque murale ultra colorée de Jean-​Luc Moerman, un artiste belge dont la réputation n’est plus à faire bien au delà de nos frontières.
Nos faims respectives n’étant vraiment pas au niveau des talons, on a directement zappé les entrées pour se concentrer sur les plats dont les descriptions faisaient assez envie.
Mam’zelle c’est laissée tenter par un «Risotto à la milanaise aux Saint-​Jacques rôties» et moi par le «Moelleux de poulet fermier, potimarron, croustillant de polenta aux noix et mousse de châtaigne». Dans les deux cas nous avons été vraiment déçus. Bien que la présentation du risotto était jolie, elle l’a trouvé un peu chiche en St Jacques (3 pièces) et surtout fort fade (La Miss est italienne…) Fade aussi mon poulet qui manquait carrément de goût, seule la polenta frite relevant un peu l’ensemble.
Pour la petite histoire, au même moment, un couple assis à la table d’à côté s’est bruyamment ébahi des mêmes plats exactement! Je suis exigeant mais pas difficile (une devise que je partage avec ma compagne) édictée à force de comparer encore et encore…
Si l’addition s’est soldée aux alentours de 50 € avec 2 verres de vin, une bouteille d’eau et un café, ce n’est que grâce à la pirouette technologique m’ayant amené jusque «Chez Montaigne» à qui je né laisserai une seconde chance qu’à moins d’y être invité… Je laisse 3 étoiles parce que c’était loin d’être nul et que j’adore Jean-​Luc Moerman.

Assez difficile d’évaluer…j’ai diner un soir de we. Plats corrects et bien présentées avec des prix dans le ton du quartier, le service pas désagréable…mais la décoration n’est absolument pas à mon goût et l’ambiance n’était pas au rdv. C’était froid et morne… je suis sans doute tombé un mauvais soir… j’aurai pu mettre une étoile de plus pour l’assiette et une de moins pour la décoration et l’ambiance.

Nous avons passé une très bonne soirée chez Montaigne le w-​e passé.
J’ai découvert ce resto grâce à l’application resto last minutes. 20% sur une table de 4, pourquoi pas!
Le cadre est design et élégant; le service est agréable et attentionné. Les plats sont très jolis, mais les assaisonnements né sont pas toujours très justes (exemple: la sauce du carpaccio de homard était un trop présente, ce qui gachait un peu le gout du homard…) et l’on reste un peu sur sa fin avec «seulement» un plat.
Pour le reste les prix sont corrects.
Chouette petit resto, qui se veut semi-​gastronomique, mais qui doit encore faire qlqs ajustements.
J’y retournerai certainement!

I live on the square, only recently visited and was really surprised by the attentive, swift service and smart food in this relatively low profile restaurant. A place to go back to.

Excellent endroit pour le lunch et le brunch!
Ceci dit, le samedi soir, il y a également une bonne ambiance!
Le cadre est assez beau notamment grâce aux œuvres d’art en vogue, signées Jean-​Luc Moerman!
Si vous dînez à 4, je vous conseille la table ronde du fond, légèrement surélevée et plus cosi pour les conversations.
L’assiette est aussi agréable pour les yeux que pour le goût! Les desserts sont à tomber, surtout les différents macarons fait maison…
Le patron est le même que celui du restaurant Rouge Tomate, gage de qualité? A mon avis oui.
Bön ap!

Chez Montaigne est le nouveau place to be de la Place Brugmann et nous avons passé une excellente soirée.
On peut y luncher, dîner, y prendre le thé et même bruncher le weekend. La déco est épurée mais néanmoins sympa avec des œuvres de l’artiste contemporain belge Jean-​Luc Moerman, l’ambiance est décontractée et l’accueil chaleureux. On peut également emporter de superbes produits de leur étale traiteur gastronomique: foie gras, terrines, et autres gourmandises.
La cuisine y est gourmande, raffinée, faite de produits de saison et issus de producteurs de haute qualité. Voici le menu que j’ai savouré avec bonheur. En entrée, un carpaccio de homard, avocat, baies roses, confitures de Yuzu et herbes fraîches, une tuerie! En plat j’ai commandé le tartare de boeuf Hugo Desnoyer, fleur de câpre, échalote, jaune de caille, salade d’herbes du marché et toast au levin. Délicieux et copieux. Enfin pour terminer en beauté, une superbe dame blanche composée de 3 boules vanille à tomber (les meilleurs jamais goûtées), le chocolat Valrhona et des tuiles de chocolat blanc et au lait.

Chez Montaigne est le petit frère de Rouge Tomate dont la réputation n’est plus à faire. Le nouveau-​venu (enfin, le temps que j’écrive mon review, il n’est plus si nouveau que ça) a pris ses quartiers sur la place Brugmann, à l’arrière de l’église et compte une vingtaine de couverts, ce qui en fait un endroit cosy. Il se définit comme «salon gourmand» et c’est vrai que ça lui va plutôt bien !
La carte est assez sommaire mais moi qui ai toujours du mal à choisir, cela me convient très bien, je suis de ceux qui privilégient la qualité à la quantité et les produits servis ici sont sélectionnés avec soin, tant au niveau de leur provenance que de leur impeccable fraîcheur.
Il y a un vrai maître-​pâtissier qui officie en cuisine pour créer de magnifiques desserts et ça, c’est assez rare que pour être souligné, puis surtout ça se ressent dans l’assiette, j’y ai dégusté une tartelette au citron meringué revisitée qui me fait encore pendre la langue jusqu’à terre rien que de me la remémorer !
Bref, sa carte épurée, son cadre sobre et moderne, son emplacement stratégique et — last but not least — son petit coin épicerie fine où tu pourras emporter, entre autres, les plats et desserts qui se trouvent à la carte, à savoir une série de douceurs sucrées et salées, en font un lieu incontournable dans le quartier.

Taratare de bœuf et tagliatelles à la Cabonara, Paris Brest. Château Malartic .
Belle présentation, assiette bien remplie et papilles ravies. Seul bémol, le prix. Pas donné mais la qualité était là. Service prévenant.

La mort dans l’âme, je suis allée chez Montaigne, la nouvelle adresse trendy de la toute aussi trendy (et un peu posch aussi) Place Brugmann.
Oui, bon, faut que je vous explique :
Avant le Montaigne, il y avait une petite boulangerie-​salon de thé. La boulangère était gentille comme tout et j’ai encore un souvenir ému de ses viennoiseries. Mais un jour, le propriétaire de l’immeuble a décidé de né pas renouveler son bail et elle a du partir, après 17 ans de couqu’skes, de «bonjour madame, au revoir madame et merci, et comment va le petit ?».
Soit.
Ca faisait donc quelques semaines que je passais devant les vitrines blinquantes de cette nouvelle enseigne, quand même un peu intriguée. J’avais lu que c’était Thierry Naoum, le propriétaire du Rouge Tomate, qui était aux commandes et plusieurs critiques dithyrambiques sur divers blogs.
Ce qui devait arriver arriva: mercredi soir, je suis allée chez Montaigne et voici mes premières impressions :
— Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les prix sont raisonnables. Environ 14 € pour une entrée, entre 18 et 25 € pour un plat, et une petite dizaine d’euros pour un dessert. La carte des vin tape dans les chers et chics mais il y a moyen de trouver de bons rapports qualité/​prix.
— Dans l’assiette, il n’y a rien à redire: c’était succulent ! Pour ma part, j’ai pris un tartare de boeuf coupé au couteau d’une finesse incroyable et dont la version «plat» était plutôt copieuse. Ensuite j’ai craqué pour la tarte au citron revisitée et ça, je vous jure, c’était de la bombe !
— Dans le verre, c’était pas mal aussi: nous avions opté pour un carmenere chilien à 25 € la bouteille. Y’avait aussi des Mouton-​Cadet et des Pauillac à 65 € mais comme on a pas –encore– gagné au Lotto, on s’est dit que le chilien ferait l’affaire
Bön, ça c’était pour les points positifs. Oui parce que :
— La déco: non, non, non et re-​non. Tout ce blanc, cette ambiance aseptisée sans une once de chaleur, ça donne l’impression d’être dans la salle d’attente d’un cabinet médical. Et l’oeuvre artistique en fresque, qui semble représenter des ligaments fluos né fait que renforcer cette impression.
— Le service: je n’aime pas critiquer les serveurs, ayant été moi-​mêmes de l’autre côté du tablier mais là, c’était pas très pro: erreur sur l’eau (plate au lieu de pétillante), incapable de donner un conseil sur le vin (parce qu’il n’y avait pas que le chilien qui était à 25 €) et finalement erreur dans le plat. Certes, le tout avec un grand sourire mais ça né colle pas avec le standing que le resto veut se donner.
Voilà, je reste sceptique mais ce n’est pas impossible que le Montaigne arrive à m’amadouer, notamment grâce à sa jolie terrasse.

Chez montaigne à côté de l’avenue Molière…
On peut croire que cela annonce la couleur
Mais non c’est sans aucun préjugé que je pousse la porte de ce tout nouvel endroit…
La déco est épurée, froide …
J’y vais dans le cadre des restodays soit avec un menu imposé à 29 euros entrée plat dessert
Les assiettes sont bien présentées mais la magie n’opère pas
Le bar est particulièrement bon mais le dessert vraiment raté
En bref une nouvelle adresse qui né restera pas dans les annales selon moi…
Le petit plus leur coin épicerie qui propose des produits que l’on peut trouver chez la villa lorraine traiteur mais moins chers ici!