Le Coq

Bar à cocktail avec un serious game et il y en a pour tous les goûts sur leur carte.
Ici on respecte les règles de l’art concernant les bars à cocktails, le petit verre d’eau quand on arrive, la carte bien expliquée … serious game je vous disais !
Un petit hic, ils n’avaient plus les ingrédients du cocktail que j’avais choisi, pas de problème on m’a concocté un cocktail similaire et il était top, conforme à mes attentes.
L’endroit est très très spacieux, quand on connait les bars à cocktails parisiens, ici vous pourrez venir en groupe sans soucis ! Par contre, pas de thème spécial, l’endroit reste tranquille, niveau son ça reste classique, rien de fifou.
A noter ! Le Coq réalise des sessions de cours de cocktail, où pour 50 euros, vous aurez 2 heures pour élargir vos connaissances, parfaire votre technique … en plus du cours pratique, vous avez même un laboratoire de mixologie moléculaire !

Beautiful décor, very lush. Jewel tones and velvet, dim lighting. The service is outstanding. They are so friendly and accommodating, a place that would seemingly be pretentious but isn’t at all. I ordered the cucumber appetizer, it came with yogurt. It was over the top salty! But I was happily drinking champagne and that’s what really matters. An excellent wine list. (And a chic luxe vibe– check!)

Le Coq est une petite pépite dans un quartier ou les adresses de cette qualité sont rares.
La carte des cocktails de la maison est assez courte, mais ils valent vraiment le détour. Ils sont préparés avec beaucoup de soin et le résultat est a la hauteur des attentes! Il est également possible de commander n’importe quel recette classique de cocktail.
J’ai pu goûter 2 compositions hier le Viva Villa, a base de tequila, qui était un juste mélange de sucré et d’acidité, très rafraîchissant et le grand classique Manhattan exécuté a la perfection !
La salle est spacieuse, agréable avec une très bonne playlist éclectique en fond sonore. Les 2 mixologistes présents ce soir la étaient très sympa, souriants et ils n’hésitaient pas a partager quelques astuces pour de bons cocktails.
Expérience au top!

Le Coq est un bar à cocktails situé à deux pas de la place de la République. Le lieu est assez minimaliste avec un grand bar et des tables basses avec canapés ou fauteuils en forme de cubes. L’ambiance est sombre et tamisée, cela donne un petit côté feutré et chaleureux qui n’est pas si désagréable que cela !
Côté carte, je suis un peu perplexe car il y a relativement peu de choix dans les cocktails et peu m’ont franchement séduits à la lecture. Bön, j’ai donné hâtivement mes impressions car ils sont bien meilleurs à boire qu’à lire !
Je n’ai pas souvent l’occasion de passer dans le quartier de République mais voilà une bonne adresse au cas où…

On y aime surtout les expérimentations et la justesse des boissons. Beaucoup de travail sur leur carte qui nous force à revenir découvrir les nouveautés.
Attention la déco est en train de changer, pour notre plus grand plaisir.

Bar à Cocktails — Enfin autre chose que des mojitos
A l’origine de ce bar, Tony Conigliaro, célèbre bartender londonien, spécialiste de l’élaboration de cocktails à base de mixologie, bien loin des sucreries mojitoniennes et autres boissons proposées à prix indécents aux 4 coins du monde pour 1 pauvre feuiller de menther et ½ kilo de glaçons ! Quelques planches de charcuteries et de fromages pour compléter son cocktais d’un en-​cas. Et une déco typep 70s arty très original. Bref, à recommander … .une seule réserve: la rue, assez peu animée et peu attirante !

Living in Paris the past five months, this place was my home away from home. Easily one of the best bars in Paris, the menu is a product of thoughtful innovation and I’d recommend sampling everything should the occasion arise. For the old-​schoolers (such as myself), fear not! Barman Jérémie makes an incredible (vesper) martini, along with all the other classics (e.g. old fashioned). The crowd here tends to be quite international, but don’t be surprised to find the Parisian bobo sipping on le coq’s newest creation. I preferred chatting up the staff here, who quickly became like family; there’s no better feeling than hearing your martini being shaken before you even sit down.

Very cool, local bar, with excellent cocktails and plenty of space. All a brisk 10 min from home. What’s not to love?

Le Coq est dans la mouvance de tous ces bars «trendy» qui fleurissent dans le Xème arrondissement de Paris.
Les cocktails sont bien préparés et la liste est assez exhaustive. L’endroit est grand et assez bien aménagé. Il y a beaucoup de places assises. Mais comme tous les bars branchés du moment, ça se remplit assez rapidement.
L’ambiance et la déco sont soignées. On passé un super bon moment autour d’un cocktail. C’est l’idéal pour se retrouver entre amis.
Vous pourrez même checker tous les vinyles posés à côté du bar, histoire de vérifier votre culture musicale.
Un bon plan sans prise de tête !

Nous avons été plusieurs à avoir testé ce bar à l’occasion du CMYE Pot de départ d’Elodie.
3 étoiles également car malgré la bonne ambiance régnant dans le bar ce soir là (bonne ambiance à laquelle on a sans doute contribué ;-)), je n’ai pas du tout été conquis pas la qualité du service. Les serveurs né sont pas spécialement à l’écoute ou né sont pas très réactifs, au choix. Mais seconde déception clairement rédhibitoire, dont les deux avis précédent l’ont déjà souligné: l’eau.
WTH? Non mais vraiment… Tu connais le jus de serpillière? Non? C’est tout nouveau. Son petit goût infect saura immédiatement étancher les soifs les plus intenses. Ça, c’est clair… Et aussi donner l’envie de se rattraper avec un cocktail ! Ah oui, c’est fou !
Même l’eau la plus calcaire de France n’aurait pas ce goût là. Même l’eau que tu donnes à ton pire ennemi n’a pas ce goût là :D…

J’aurai pu me contenter d’un 4 car l’établissement bénéficie quand même d’une grande salle cosy avec une sélection musicale assez originale, un +1 pour leur croque-​monsieur à la langouille très bon, mais malheureusement, l’eau, ça mérite un –2 direct ! Quitte à nous servir de l’eau, autant qu’elle soit bonne, sinon, je né vois pas l’intérêt !
Ah, si: C’est drôle à raconter :-)
Le Coq, un bar sympa, à condition de né pas sauter sur les verres d’eau…

Un bar à cocktails sympa, avec une carte ajustée et possibilité de commander des «classiques» si désiré.
Le lieu n’est malheureusement pas original: on retombe sur le classique combo murs décatis/​lampions tombants.
J’ai commandé un Bloody Mary et là wahou v’là comme c’était épicé. Après ça c’est sûr, pas besoin de commander un autre verre après!
Un bar que je conseillerai/​où je retournerai si je suis dans le coin mais je né traverserai pas la ville pour cela si l’envie de prendre un verre me prend.

Je rejoins l’avis de Sarah D., notamment sur le goût des verres d’eau (sur lesquels je comptais beaucoup pour me réhydrater après consommation de verres plus alcoolisés levés à l’avenir brillant de notre chère Elodie) et sur le sourire qu’on aurait aimé voir se dessiner plus souvent sur les visages des serveurs tous genres confondus.
Du bar, j’applaudis la vaste salle aux allures de salle de concert, l’ambiance musicale qui va de David Bowie au meilleur de la musique funk, et le Bloody Mary à la contenance plus qu’honorable et relevé juste ce qu’il faut. Signalons également un cocktail à la Bénédictine qui est très certainement un désinfectant à l’efficacité redoutable, je vous aurais prévenu: ce n’est pas pour les fillettes ! Mais je crois que je préfére le Calbar, à prix équivalent, quoique moins vaste pour accueillir du monde.
Et si vous y allez, chronométrez combien de temps vous tiendrez avant de demander ce qu’est la langouille (moi, je sais. Google aussi probablement, mais c’est de la triche).

Quand j’ai vu les avis parfois dithyrambiques rédigés sur le Coq, je m’attendais vraiment à être conquise par l’atmosphère de endroit, mais surtout ses cocktails. En le testant pour la première lors du CMYE Pot de départ d’Elodie, j’avoue avoir été un peu déçue. Pas tant par le cocktail bu (un Fizz à 12 euros très frais qui se boit comme une limonade — aïe, aïe, aïe), mais surtout par le service pas non plus super hyper friendly et surtout, l’eau. What happened? Je né sais pas si c’était un accident de parcours cette soirée-​là ou si c’est récurrent, mais les verres d’eau servis gracieusement étaient juste infects, il n’y a pas d’autres mots. On a rarement bu une eau aussi immonde à Paris, même tout droit sortie d’un robinet calcaire. Est-​ce là une ruse pour nous obliger à consommer des cocktails et autres boissons alcoolisées? Aucune idée, mais cette expérience aquatique m’a vraiment refroidie.
Du côté du positif, on notera que l’endroit est spacieux, l’ambiance est plutôt intimiste, qu’on peut y amener sa bande sans trop de souci logistique et que le fond sonore n’est pas désagréable. Le croque-​monsieur à la languouille est sympa.

Avant la soirée d’hier, j’étais déjà venue deux fois au Coq, et l’animal m’avait bien plu :)
Confirmation: le punch était super bon (pas écœurant comme il peut l’être parfois quand il est mal préparé), le vin rouge au verre très bien servi (c’était d’ailleurs presque 2 deux verres normaux dans un grand) et les petits grilled-​cheese sandwichs qu’on a dégusté fleuraient bon la montagne ! (Je né sais pas pourquoi mais j’ai trouvé qu’ils avaient le goût des sports d’hiver). J’y retournerai encore une fois avec plaisir.
Vive la France, vive Le Coq !

Après avoir lu plusieurs avis, j’avais envie de né pas aimer Le Coq. Vraiment. Mais j’ai adoré.
Il est vrai que toutefois, le cadre sombre et un peu anti-​parisien n’est pas adapté aux groupes surtout s’ils cherchent une atmosphère bruyante et animée, mais c’est plutôt sympa pour une date ou tête-​à-​tête avec un ami. Les cocktails sont un peu chers pour le quartier, mais la qualité y est. Le mixologue n’hésite pas à créer des cocktails à la demande ou à proposer des cocktails qui né sont plus sur la carte (pour les chieuses comme moi, ce n’est pas négligeable).
Service impeccable, souriant mais pas intrusif. Petit plus: le verre d’eau servi dès qu’on s’installe, et qui né se désemplit jamais.

Le Coq, une très bonne adresse dans la tendance actuelle grandissante des bars à cocktails parisiens.
L’endroit est d’aspect modeste vu de l’extérieur, mais dès qu’on y rentre on comprend que c’est une décoration faussement nonchalante.
Murs bruts, ampoules pendantes, couleurs sombres.
La touché arty est apportée par les grandes photos-​tableaux posées à même le sol contre le mur… Certaines sont magnifiques, comme la vue des nuage un peu floue.
Il y a même des banquettes cosy pour se vautrer entre 2 verres !
L’atmosphère est donc feutrée et sombre, peut-​être un peu trop du coup c’est presque difficile de lire la carte ! Même si j’adore les ambiances intimistes ça manqué un chouia d’éclairages tout de même mais bon, ça participe à l’esprit du lieu.
Côté cocktails la carte est riche mais pas trop chargée non plus ce qui permet de bien analyser les différents cocktails avant de choisir. Les tarifs sont vraiment corrects pour un bar à cocktail, compter dans les 10 – 12 euros le cocktail.
J’ai testé «les fleurs du mal» et un autre au champagne et à la liqueur de beurre ! une tuerie !
À noter qu’ils changent la carte régulièrement mais laissent les «classique».
Les serveurs étaient très sympas, ils nous ont fait gouter un cocktail le temps que l’on choisisse ! Rien à redire. Sinon c’était en semaine donc ça manquait un peu d’ambiance mais le week-​end c’est bondé.
À tester donc.

J’ai mis deux étoiles non pas pour le cadre ou la qualité des cocktails ni le service mais pour l’attitude absolument déconcertante et fort peu professionnelle de la serveuse et du bartender au moment de l’addition.
Nous étions nombreux, quelques-​uns partis plus tôt ont payé à part. Au final la note globale devait s’élever à plus de 200 euros. On nous présente une note de 10 cocktails. Nous vérifions et les payons tous. Et à ce moment-​là, la serveuse nous indique qu’il reste encore 2 cocktails qui né sont pas payés. Nous rappelons les personnes parties plus tôt pour voir avec elles vu que nous avions payé les nôtres.
Il semblerait qu’il y ait eu 2 cocktails payés par ces personnes, qui né furent pas enregistrés comme tel (alors que payés par CB) Chaque personne qui paye voit ses consommations disparaître du système informatique pour né laisser que les non réglées.
La serveuse était sur la défensive. Pourtant nous avons tout recompté, rappelé les personnes parties plus tôt pour vérifier. Certes, une des filles présente avait payé un cocktail à la place d’un autre mais le nombre total de cocktails était correct ! On nous présentait une note de 10 cocktails et on les a tous payés.
On a demandé à voir les tickets de CB et la facture globale vu qu’on avait seulement une partie de la note. Ce à quoi on nous a répondu sèchement que c’était impossible et que l’erreur né pouvait pas venir d’eux !! Dans ce cas comment prouver une erreur? Nous étions vraiment de bonne foi (franchement vu la note, on allait pas essayer de voler 2 cocktails) Bref, on nous a finalement dit d’un air condescendant: «écoutez on a autre chose à faire de plus intéressant, merci au revoir. «
Clairement nous n’y mettrons plus les pieds. J’avais eu vent de ce nouveau lieu par mon travail et j’avais écrit un article positif dessus et souhaitais m’y rendre pour confirmer mon impression.
Au final je suis obligée de réviser mon jugement. Je trouve ce manqué de professionnalisme et de fairplay très ennuyeux quand on est commerçant.
Et c’est quand même très ennuyeux alors que le lieu est sympa, les cocktails très bons et le service en salle très compétent.
Je pense qu’il s’agit d’un gros quiproquo mais cela laisse un goût très amer et j’irai goûter ailleurs des cocktails où je né serai pas suspectée d’office de vouloir arnaquer le propriétaire !

Le seul défaut est l’obscurité du lieu.
Pour le reste les cocktails sont vraiment excellents et une mention spéciale au Service.
C’est assez rare pour être souligné: les serveuses sont très gentilles et vous apportent un verre d’eau dès la commande et viennent vous re-​servir dès que celui-​ci est vide.

Le buzz de la rentrée assurément.
On entre dans une grande pièce type loft stylé, on se croirait à NY ou Brooklyn. Les grands espaces n’étant pas monnaie courante à Paris c’est plutôt agréable. Le lieu est cosy et classe sans être too much.
Service et accueil irréprochables, encore un gros plus pour un établissement parisien. Gros plus pour le verre d’eau servi d’office.
Le concept du coq, francisation de cock (tail) est de faire d’une spécialité anglo-​saxonne des cocktails avec des ingrédients et un savoir-​faire français, d’où le nom du bar en clin d’oeil.
Les cocktails: carte originale, on a envie de tout goûter tellement tout à l’air appétissant! alors j’ai goûté: Fleurs du mal, Gin Fig Collins, et Xème Arrondissement. Tous vraiment très bons, équilibrés et bien conseillés par le staff. L’étoile manquante pour moi est que pour 11euros (ce qui reste raisonnable pour ce genre de lieux à Paris) j’aimerai avoir l’impression de boire de l’alcool et pas des cocktails de fruits. Dommage.
J’y retournerai mais en connaissance de cause.
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Le coq is one of the most buzzed about cocktail places of the year, so my excitement quite high walking into the place.
Décor-​wise, it’s perfect 10, chic industrial loft-​style, New York-​ish/​Brooklyn-​ish; comfy seats spread out in an open-​space that remains cosy and intimate with the help of dark lighting and candles.
What struck me first was the freidnly but classy service, both in dress and attitude. The glass of water was especially appreciated.
The concept of this place if to use old and current French ingredients to mix original cocktails, hence the French-​ed name Coq (tail). Sweet pun.
About the drinks: Really sophisticated and orignial menu, well explained by the waiters. I had three, all equally tasty and balanced excpet that I could barely feel the booze in them; a bit of a shame for a cocktail.
I would go back galdly but will know what to expect.

«Mais c’est chaud de faire un avis sur un bar à cocktails en y ayant seulement bu l’unique cocktail non alcoolisé qu’ils servent?!»
Oui, haters will hate. Envoyez vos réclamations en inbox*.
Bref, j’avais très envie de goûter leur Perrier Orgeat Citron vert et j’ai bien fait ! C’est HYPER bon ! Très frais, gourmand sans forcer sur le sucré, ça fait «pshiiiiit» et «wow» dans la paille puis sur le bout de la langue !
Le lieu est spacieux et pas bondé et ça c’est précieux quand on est habitué au Glass ou au Candelaria: vraiment précieux.
Le service est non seulement très bien habillé (costume de bartender), mais en plus authentiquement sympathique. Petit verre d’eau dès notre arrivée. Sourires et interactions discrètes mais attentionnées. Un sans faute.
Il y fait un peu sombre mais on n’est pas là pour lire du Proust, si?
* Ceci n’est pas une blague: j’ai bien reçu une réclamation au sujet d’un de mes avis. Et pas par le patron !

Le premier bar à cocktails de Tony Conigliaro à Paris ! Tony qui? Tony «le pape londonien de la mixologie /​artiste /​petit chimiste /​apprenti sorcier des spiritueux» Conigliaro.
Quelques jours seulement après avoir achevé la lecture de son ouvrage «Drinks –Unravelling the Mysteries of Flavour and Aroma in Drink», émoustillé par la magie de sa méthodologie et les mystères de sa créativité, je n’ai pas pu résister à l’envie d’aller découvrir Le Coq !
À peine entré dans le bar et posté devant le tabouret où je vais m’asseoir, le barman (jeune et looké moderno-​classique avec son veston porté sur des manches retroussées) me salue et pose un verre d’eau sur une petite serviette devant moi: ça, j’aime ! Né pas avoir à demander un verre d’eau est un petit détail que j’apprécie tout particulièrement et qui fait toujours mouche côté service. Dommage pour le coup que le liquide ait le goût chloré typique du Château-​la-​Pompe parisien… un tue-l’amour auquel je né toucherai plus de peur de nuire à la dégustation.
À l’heure où le bar ouvre seulement ses portes et la clientèle prend son temps pour se manifester, l’ambiance est calme et j’ai pu apprécier, juché sur un tabouret au bar, la déco du lieu: épure né rime pas ici avec austérité, et la déco simple et géométrique se veut chaleureuse, les tables et banquettes asymétriques laissant la vedette aux photographies géantes et au coq peint sur le mur.
La carte des cocktails joue pour l’instant (ouverture récente oblige) sur le registre du «best-​of de M. Conigliaro»: une grande partie des recettes proposées sont de grands classiques déjà servis dans ses autres bars, détaillées dans son livre, et visent à présenter le style Conigliaro aux clients français. À 11 €, on se situe dans la moyenne inférieure du prix des bons cocktails parisiens, ce qui est une bonne nouvelle !
Dans mon verre, «Les Fleurs du Mal»: évidemment inspiré par le poème Baudelaire et la sulfureuse absinthe qui fut sa muse, le cocktail marie vodka à la rose, jus de citron, blanc d’œuf et une touché d’absinthe. Shaké une bonne cinquantaine de fois, il arrive devant moi coiffé d’une belle mousse onctueuse et, surtout, glacé: son long secouage lui donne presque un côté granité avec ses nombreuses pépites de glaçons. Une texture étrange qui né me séduit pas totalement.
Le nez au-​dessus du verre capte les essences de zeste d’orange qui y ont été exprimées, puis la bouche découvre une attaque forte en absinthe, suivie par l’acidité du citron avant de laisser sa place très discrète à la rose (absente des première gorgées, jusqu’à ce que le cocktail se réchauffe un peu) avant de revenir sur l’absinthe, et enfin, les essences d’orange sur les lèvres. Étonnamment léger pour un short drink (mais la dilution n’est pas surprenante compte tenu de sa longue préparation), je n’y ai pas découvert la magie à laquelle je m’attendais. Pire, à la relecture du paragraphe qui lui est consacré dans le livre du barman, j’ai l’impression de né pas avoir bu la même chose: «Les Fleurs du Mal» y est décrit comme un sour à la rose avec une touché d’absinthe, à l’inverse de ce que j’ai goûté.
J’ai néanmoins hâte de revenir découvrir le bar dans une ambiance plus animée, et surtout goûter les autres créations de la carte ainsi que les mystérieux «classiques revisités» offerts sur demande.

I really like this place: the layout is good, there’s plenty of seating, the staff is friendly, the drinks are delicious and strong. I agree with Zeva’s review about having an East Village feel — I was reminded a lot of drinking in NYC, both in terms of mood and price/​quality of drinks. That said, being from NYC means I’m used to paying quite a bit for a good cocktail and the prices here are exactly what I’ve come to expect back home.
This place is perfect for a nice night out or a date, but I certainly can’t afford to drink here regularly.

After reading the positive reviews stream in for this new, Brit-​owned bar I expected the place would be slammed with an annoying door policy on a Thursday night, but I was very pleased to discover a nicely populated space, neither empty nor packed, with several different seating options throughout the room.
Speaking of the space, it totally reminded me of a 90s east village bar in NYC. Dark, a bit dilapidated, sexy and spacious with good music and plenty of people watching. Aside from unexpectedly running into two separate groups of friends, it didn’t feel like Paris at all.
The cocktail list has around a dozen signature cocktails that all sound amazing. I chose the Lime +, a frothy, citrusy, festive blend of curaçao, lime and what seemed like egg whites, sort of a liquid key lime pie. Yum! For 11E, it was a total deal. Some of the other cocktails I saw being served were slightly more «petit» in size, but perhaps a bit stronger. Definitely going to make it my 2013 resolution to make my way through the rest of the list!

De toutes les nouvelles ouvertures de cette fin 2012, c’est le Coq et le Little Red Door mes préférées. En dehors du fait qu’ils sont tous les deux proches de chez moi, ces endroits sont juste géniaux chacun à leur façon!
Tony Conigliaro, l’un des gourous des cocktails de Londres, et ses acolytes ouvre le Coq au 12 rue du château d’eau proche de République et à l’intersection de plein de coins tendances. Donc, facile d’y aller avant ou après un dîner sympa. Mais parlons de ce qui nous intéresse le plus: l’ambiance et les cocktails. Je vous le dis clairement, je suis super fan de l’ambiance! Contrairement à la vibe feutrée des autres cocktails clubs de Paris, ici, c’est musique à fond, des gens qui dégustent leurs cocktails dans un lieu qui a l’air aussi à l’arrache que travaillé. Mais ça colle bien à l’endroit, on se pose tranquillement au milieu d’une foule (ni hipster ni BCBG ni trader et ça, ça fait du bien) et on profite de la musique en s’amusant avec ses amis. Il y a de la place pour danser si l’on veut mais aussi d’agréables sièges pour se poser dans le fond. Le bar est tenu par plusieurs bartenders en tenue de circonstance qui vous servent soit des cocktails de la carte soit des classiques revisités et tous à 11 €. J’y ai pris un French75 et un Fig Leaf Collins, le premier est plutôt bon avec un petit côté sucré pas désagréable mais j’ai vraiment adoré le Fig Leaf Collins, de un, j’apprécie les X collins à la base, de deux, comme il faisait un peu chaud vue l’ambiance du lieu, j’ai trouvé que ce cocktail avait le léger parfum de la fleur de figuier et un côté super désaltérant/​rafraichissant qui était juste parfait sur le moment. Mes amis ont goûté le cocktail «les fleurs du mal» et ont adoré. Les bartenders sont sympas et le service est agréable. Certes les cocktails de la carte né sont pas les plus dingues que j’ai pu rencontrer mais pour le prix payé 11 €, ils valent carrément le coût. Au pire, commandez un classique que vous appréciez comme ça vous né serez pas déçu.
Au final, je suis pour le Coq, j’adore les autres bars à cocktail de Paris mais ici, il y a vraiment une ambiance différente qu’on né retrouve pas encore ailleurs. Si vous cherchez un endroit où aller boire de bons cocktails avec l’un des meilleurs rapport qualité-​prix de Paris dans une ambiance festive et où vous aurez assez de place pour bouger même si il y a du monde. Courez-​y, vous m’y trouverez probablement!

Nom frenchy pour une création british, celle de Tony Conigliaro, déjà bien installé à Londres, expert en mixologie.
Rue du Château d’Eau, sous l’enseigne d’un certain Prince Eugèné trôné celle, plus discrète mais aussi plus stylée de l’un des derniers nés des bars à cocktails parisiens.
A l’intérieur, on découvre une déco brute (pierre apparente, tables et banquettes aux formes asymétriques) et un éclairage minimaliste. Du Françoise en photo et du Jacques en fond sonore pour la French Touch. Des p’tits gars derrière le bar aux airs de dandy et aux petits soins pour la touché britannique. On est aux anges. Le Coq assume également un côté très rock’n’roll: tu auras droit à Iggy Pop and co.
On s’installe au bar sur des tabourets métalliques mais confortables. La carte est très tentante, on hésite. On testera finalement les Fleurs du Mal et le French 75 façon Le Coq aux doux accents d’Absinthe, ainsi que le Lipstick Rose dans son verre auréolé d’une trace de rouge mystérieuse. Alcools oubliés sont légions dans ces mélanges originaux. Côté prix, tu t’en tireras pour 11 euros le verre, ce qui est raisonnable quand on sait que la plupart des bars tournent plus autour des 15 euros.
Conclusion: va-​li-​dé.

With a powerhouse trio behind the business, this is a fine example of the new direction that cocktails/​bars are taking in the city. Thierry Daniel & Eric Frossard (the organizers of the Paris Cocktails Spirits salon) have teamed up with Tony C of London’s 69 Colebrook Row’s fame to bring something a bit more ‘brut’ than what you may be used to seeing amongst the prevalence of speakeasy type establishments. The deco is 70’s glam. The cocktail list is short but solid, with lots of interesting ingredients, including those both made onsite and in the London lab. Prices also reflect a nice trend in some of Paris’ recently opened hotspots of dropping cocktail prices to something slightly lower than the average. It’s a bit off the beaten path, but still within walking distance from some of the city’s other nice cocktail spots.