Au Vieux Dieweg

Et bien oui cela né paye pas de mine ce Vieux Dieweg, mais si on aime les vrai bistrots de quartier il faut s’y arrêter.
En effet, le temps s’y est arrêté. Pardonnez cette comparaison mais c’est très «Brelien» comme café.
C’est un bon vieux bistrot, dont on se dit qu’avant (au moins au XIXeme) ce devait être une taverne ou un relais de poste.
Moi qui aime ces endroits je né suis jamais déçu. J’y observe à loisirs les allers et venus avec la gare, les gens pressés ou non de prendre un train.
En conclusion, à voir si vous fatigué du Uccle branché que tout le monde connait.

Un chouette bistrot de quartier à une encablure de la Gare de Uccle-​Calevoet. Surtout fréquenté par les jeunes, les étudiants d’entre 2 cours ou du prochain train. La salle d’attente idéale dans ce quartier du vieil Uccle bien différent de l’Uccle bien connu trop hype.
Ici, l’ambiance vire au vert avec le Kauwberg pas loin et les nombreux chemins ou ruelles pavées. Le Vieux Dieweg, une halte bienvenue sans tracas, le temps de se réchauffer pour continuer la promenade vers le quartier Saint-​Job, la réserve naturelle du Kinsendael, le bois de Verrewinkel le long de notre très chère «Gordel» linguistique …

Le Vieux Dieweg c’est un bar qui né paie pas de mine, mais alors vraiment pas! Il est au bout de la chaussée d’Alsemberg, près de la station Uccle-​Calevoet.
La raison pour laquelle j’en parle c’est parce que le fiston de mon chéri et moi-​même nous posons toujours ici boire un verre — un jus de pomme-​cerise pour lui et un café pour moi– quand nous attendons le train qui nous ramènera de son école jusqu’à la gare du Nord!
Il y a donc surtout les habitués du quartier, une ou deux bières pression, quelques jus de fruits. pas de quoi fouetter un chat, mais c’est une habitude que nous avons prise!

Vous êtes attendez à la gare Calevoet et votre train a du retard? C’est peut-​être une des seules raisons qui peux vous emmener sur le sentier pas du tout battu du début du Dieweg, dans ce vieux, très vieux et authentique troquet de quartier.
Je me rappelle encore quand je passais devant en voiture lorsque j’étais petite. Les vitres étaient fumeuses, tout semblait fonctionner au ralenti à l’intérieur. Un chat dormait toujours à la fenêtre du bar et quelques vieux bonhommes buvaient leurs bières. Et bien ça n’a pas changé. Le temps semble s’être arrêté au vieux Dieweg.
Le service est un peu brut si on n’est pas un habitué. Mais ça fait presque parti du décor.
Je n’ai pas tenté le truc, mais je crois que ça pourrait être sympa d’aller papoter avec le patron à propos de l’histoire de ce café, qui remonte certainement à un temps où Calevoet avait des allures de village.