Crab Club

Cauchemar au resto.
La devise…“king Crabe” et non «Client Roi»
Le décor…froid. et la température suit.
Le ton…“cash only“
L’histoire:
3 serveuses sorties de tout endroit sauf d’une école hôtelière.
«voici la carte des vins, et le menu il est là au tableau (le „si vous avez des questions n’hésitez pas“, passé à la trappe»).
Prix: de 15 à 30 euros, une dizaine de «petits plats» à se PARTAGER (attention, très attention!). On demande alors le principe: réponse: «comme c’est à se partager c’est assez petit» (à 15 boules, c’est cher le tapas).
On désire commander le vin, La bouteille la moins chère: 28 euros. Donc on désire se faire conseiller mais la serveuse n’y connait rien, on lui demande alors d’éventuellement appeler qqun qui pourrait… réponse: «aaah mais si je demande au chef de sortir de sa cuisine je vais me faire frapper» (ah! ça c’est classe).
Avez-​vous un vin du patron? (qui n’apparait donc nulle part sur la carte) «oui au verre» (le prix? ah ben aucune idée).
On se rabat ensuite sur une bouteille de Côtes du Rhôné que l’on voulait généreux. Raté. On change de vin.
On passé la commande du «miam» (?): on spécifie la mozzarelle avant le reste, à partager car les 2 autres plats né désire pas les partager. Mon amie n’a pas envie de manger mon cochon rôti.
Arrive en premier LE COCHON. On remballe en disant que l’on avait bien précisé. Réponse: «ah mais ici c’est comme ça, on partage tout arrive «comme ça».
La mozzarelle aux anchois arrive! Elle nous avait précisé qu’il y avait 2 boules mais c’est une seule, coupée en deux…
Mais HOURRA! Ce petit plat est très bon. On demande sel et poivre (qu’il n’y a sur aucune table — genre c’est assaisonné correctement donc…) on nous apporte le poivre, jamais vu la couleur du sel. Peur de déranger, on insiste pas.
Ensuite attente de 25 minutes. Pour s’entendre dire «il n’y a plus de palourdes aux pommes de terre, on vous propose des couteaux à la place» — couteaux que l’on né voit pas au tableau. Prix? sais pas. On accepte le deal…
Ce plat était donc attendu avec le cochon…
Il arrive! MAIS cuisiné en persillade donc rien à voir avec le plat de base commandé. Et bien entendu on né nous dit rien. Il y a 10 couteaux. Point. Pas l’ombré d’une patate. Ce que l’on réclame (car sinon c’est un peu maigre comme plat). Une assiette nous est jetée sur la table, avec un semblant de pomme de terre écrasées certainement par l’atmosphère de plus en plus pesante.
«Le cochon va arriver“‘ 15 minutes plus tard on n’en voit toujours pas le nez. On né partage pas notre plat donc je regarde manger mon amie, qui me regardera ensuite (peut-​être) manger. Mais ON ETAIENT OBLIGEES DE PARTAGER, on vient encore de nous le répéter, c’est le principe ici, tout est notre faute ;)
On commence à perdre patience… que l’on manifeste à la serveuse —
3 minutes plus tard arrive LE BOSS. On se dit ‘aaaah il va peut-​être demander quoi/​comment/​que se passé-​t-​il?’. Mais pas du tout: sur un ton arrogant «on vous entend jusque dans la cuisine, je né tolère pas que l’on s’en prenne à mes serveuses, ICI ON A UNE MANIèRE DE FAIRE C’EST AU CLIENT à LA RESPECTER; Alors, partez, l’addition est pour moi.»
AAAAAaaah nous voici délivrées. On part! Pour l’addition (que j’ai pu voir, chez nos voisins, griffonnée sur un bout de papier — et qui elle, arrive bien à temps), à 50 euros le couvert, on né va pas s’inquiéter pour lui…
Je n’ai jamais vécu pareille expérience au resto.

très bonne cuisine, très fin et gourmand.
les serveuses sont adorables, l’endroit est chaleureux et agréable.
très bon moment, à conseiller et à refaire !

Je né peux pas encore réellement juger Crab club mais j’ai tout de même envie de laisser ma petite critique. Je m’explique: samedi dernier nous avions réservé pour 4 personnes à 20h30 (résa le matin même confirmée par le patron). Nous mettons un moment à nous garer dans le quartier puis arrivons tout contents dans l’entrée de crab club. Face à face avec un énorme poisson blanc et un poule grillé qui nous fait tous rêver ! Ca sent hyper bon, nous observons attentivement le chef, devant nous. La serveuse est enfin disponible pour vérifier notre résa et problème, elle n’a rien noté à notre nom. On attend encore 5 minutes qu’elle aille chercher le patron. Il a oublié de nous noter… Elle jette un oeil à la salle et nous propose de revenir dans une heure. Euhhh c’est qu’on a un rdv plus tard, ça né nous arrange pas. Elle nous propose un verre mais pense que nous né serons pas bien dans l’entrée pendant une heure… Non en effet, nous préférons aller ailleurs. Elle lâche alors un tout petit «Désolée, vraiment». Mouai elle n’a pas l’air si déçue que nous ! Surtout que deux tables de 4 étaient libres, elle aurait pu nous y mettre et assumer leur erreur au fur à mesure de la soirée !
Les plats avaient l’air délicieux, la déco épurée plutôt sympa, une grande salle (lumineuse en journée) belles assiettes bleues, blanches rétro et dépareillées…
Pas sûr que nous retenterons notre chance, mieux vaut un Noordzee debout avec des serveurs sympas. En plus, ils né prennent pas la CB ! Et oui, ils ont un succès fou, pourquoi né pas bosser au black pour gagner plus …

Enfin, j’ai la chance d’aller manger au Crab Club. Cela fait déjà quelques mois que je meure d’envie de tester étant une inconditionnelle fan des crustacés et mollusques en tout genre!
En franchissant le seuil, je suis ravie; le lieu est intimiste, chaleureux, avec pas mal de petits objets chinés pour rendre l’endroit magique.
Exténuée par ma longue journée, je commande illico presto un verre de vin blanc pour me remettre de mes émotions. Première petite déception, je n’ai pas le choix du type de vin; si je veux choisir, il faudra prendre la bouteille (mais elles sont relativement chères, ça tourne autour de 30 – 40 €). Bref je me contente d’un verre de vin blanc à 5 €.
Ma copine me rejoint, c’est parti pour les festivités. On nous explique que le concept est de se partager 3 – 4 plats, qu’il s’agit d’une sorte de formule tapas mais avec des portions un peu plus grandes (en clair, des demi portions). Bref, nous choisissons un poisson assez proche de la dorade, des saint Jacques crues au citron et noisette (juste un délice), des palourdes aux tomates et olives (rolalala exactement comme je les aime) et du poulpe (cuisson parfaitement maîtrisée). Sincèrement, j’adhère au concept et à la cuisine. Quant au dessert, je pars sur du fromage de Brie, portion mega généreuse (je n’ai pas su la terminer) et fondante à souhait.
Revenons un instant sur les vins. Voila qu’en milieu de repas, mon gosier désire encore une petite gorgée (oui un peu plus) de ce vin blanc que j’avais pris en début de repas. La serveuse revient vers moi et m’annonce que j’aurai droit à un autre vin car l’autre c’est fini. Bön certes, ça me déçoit un peu. Je trouve qu’une formule au verre un peu plus attrayante pourrait être proposée, surtout qu’un beau poisson, c’est quand même le must quand accompagné d’un bon verre de vin.
Ensuite, parlons du service que j’ai trouvé assez décontracté et avenant mais parfois un peu trop «on est pote» offrant un décalage entre le côté «cool» du concept, la décoration «trop» recherchée pour un effet cool et les prix du vin un peu trop excessifs.
Finalement, lorsqu’on se fait conseiller pour les desserts, la serveuse nous propose d’en essayer un et nous dit «car la mousse au chocolat c’est banal et ca dégoûte à la longue»… Euh oui, j’ai bien ri par tant de naturel, mais au final, c’est assez représentatif de la soirée, je n’arrive pas trop à trouver la ligne conductrice de ce resto
Et alors dernier petit bémol; on né peut pas régler par carte bancaire au 21ème siècle, c’est étonnant …
Cadre: ⁵⁄₅ (exquis)
Cuisine: ⁴⁄₅ (à cause des prix du vin)
Service: ⁴⁄₅ (un peu trop nonchalant)

Un vendredi soir dans un restaurant «tendance» à Bruxelles…
Nous sommes 6, amateurs avertis de vin nature et autres expériences culinaires .
Les premières impressions sont bonnes à notre Arrivée: déco intérieure chaleureuse, vaisselle à l ancienne, carte qui sort de l ordinaire… mais l expérience va rapidement tourner au désastre !!!
Un service débordé, des coquillages remplis de vase, mais surtout une sébaste entière, a peine cuite et contenant un ver encore vivant !!! Ce n est pas une blague !
Le patron arrive après de longues minutes et «baratine» une excuse qui n’ à ni queue ni tête et cela sans présenter la moindre excuse.
Apres 20 min d attente, nous obtenons l addition.à payer en cash uniquement !!
Au final, que retenir de ce crab club: un endroit où il né fait pas bon manger. Comme quoi le «buzz» n a pas que du bon !!

Chouette concept que ce Crab Club avec sa cuisine chic qui contraste avec l’ambiance à la bonne franquette du lieu. Les plats sont originaux, mêlant les traditionnels fruits de mer à des saveurs plus audacieuses et exotiques, et c’est délicieux. Parmi ce que nous avons goûté, un pot-​au-​feu de poulpe tendre à souhait marié à de la mangue, des escargots avec un curry thai parfaitement exécuté, des coques accompagnées d’un étonnant boudin vert, …, le tout arrosé d’un excellent vin.
Bémol: les gros appétits né seront pas comblés. Vu le prix des plats, on s’attendrait à un poil plus copieux.
Autre constat: le concept «à la bonne franquette» a ses limites. Les toilettes né sont vraiment pas cosy, on reçoit une seule pince pour décortiquer nos crustacés, pas possible d’avoir des rince-​doigts, on doit garder nos assiettes de l’entrée car «il n’y a pas assez de vaisselle». Toute sortes de choses qu’on comprendrait davantage dans une brasserie sans prétention plutôt que dans le resto hype du moment.
Par contre le service était pro et agréable, et on est servi rapidement malgré le monde.
L’un dans l’autre, une plutôt bonne expérience!

Voilà une adresse avec une cuisine originale, fraiche du marché de Rungis. Le patron, notre ami breton dans la cuisine ou en salle
J’ai aimé les st jacques crus et la carte des vins
Je retournerai, car le patron sera me surprendre!

A peine installé dans le quartier du parvis, l’endroit m’avait interpellé depuis l’extérieur. Ca avait l’air plutôt sympa là dedans! Après quelques recherches sur Unilocal,j’avais vite trouvé la description du petit dernier arrivé et il me parlait pas mal. Et puis récemment, après avoir lu un article positif sur ce lieu, je me suis dit que j’allais profiter de la venue de mon ami de Londres pour tester. J’avais réservé pour trois personnes un dimanche soir (ravie que ce soit ouvert). L’endroit était donc à moitié rempli et c’était pas plus mal. J’ai adoré la déco, sobre, en bois et avec de la vaisselle comme chez Mamy. La serveuse, contrairement aux quelques avis lus, était top. Elle n’était pas experte mais au moins elle avait la pêche. Sous ses conseils on a commandé en entrée du mulet, le super hareng (il s’appelle juste comme ça parce que les patrons le trouvent super), et des coquillages. Les portions sont un peu plus grosses que des simples tapas, à trois c’est l’idéal. On s’est régalés. High five pour les coquillages et coquillettes qui baignaient dans une sauce succulente. Ensuite en plat nous avons pris le poisson (portion pour 2) et le poulpe (incontournable de la maison). C’était délicieux aussi. Simple, joliment présenté, et savoureux! On avait pris un verre de vin blanc pour les entrées et puis une bouteille de rouge pour le plat, idéal selon le big boss (la serveuse n’y connaissait pas grand chose mais avait posé la question donc rien à redire). On a pris un dessert pour trois juste pour dire de. Il n’était pas dingue et de toute façon je n’avais plus faim. J’ai été charmée par le lieu et j’ai passé une très bonne soirée. Note finale: 139 €, par la qualité et la quantité c’est vraiment ok. J’aurais voulu mettre 5 étoiles mais en effet, se taper le parvis pour aller retirer des sous car il n’y a pas de machine, c’est pénible. Mon conseil c’est de venir à plus que deux pour tester un max de plats sans voir la note exploser.

Concept sympa et innovant — y a peu/​quasi pas de restos sympa à prix abordables spécialisés dans les plats de mer à Bruxelles. Par contre les commentaires des autres Unilocaleurs sont judicieux: service pas encore assez rodé/​assez amateur et plats pas assez raffinés.

Par quoi commencer, la deco basique, on prend les mêmes et on recommence. C’est la Belle équipe avec une autre vaisselle. Donc niveau déco c’est naze et il n’ont absolument pas investit dans la déco ou alors ils ont été trop vite.
Les huitres sont cheap! Si on se spécialise dans le poisson, on sert des bon produits. La base!
Les plats sont lourds et pas raffinés. Moi un gros jambonneau avec du poulpe ça m’intéresse absolument pas.
J’ai reçu un sashimi à la place d’un tartare. Le chef né fait pas la différence?
Et puis le poisson, c’est vraiment du bas de gamme. Le Maqueau c’est le petit poisson avec pas beaucoup de gout, très à la mode et pas cher. C’est un effet de mode j’ai l’impression à Bruxelles. Sauf que même à mes pires invités, je né serais pas radine au point à leur préparer un maquereau comme diner. Et oui mais ça c’est l’art de servir des bons produits raffinés.
Pour le parking good luck! Et je roule en Smart!

Super découverte, nous avons été étonnées à chaque plat, impatients de découvrir le suivant. Pour notre part aucune fausse note. Le lendemain nous étions encore excités de cette découverte!

Zeva B et Christoph N vous ont parfaitement résumé notre soirée, je crois. Mais je vais tout de même vous donner mon point de vue, parce qu’on en a parlé pendant 24 heures après et que zut, c’était vraiment trop dommage, ce service, alors il faut le dire !
Résumé en deux points :
1. La nourriture ! Oui, c’est délicieux, vraiment ! Très brut, très axé sur le produit, parfaitement cuisiné et assaisonné. Certains plats sont un peu simples (j’ai bien aimé le «mangue et fenouil «mais c’était sans grande surprise) mais d’autres valent vraiment le détour, comme le poulpe aux figues et figatellu ou les palourdes aux cèpes — parfaits !
2. Le service ! Aïe… Vous l’aurez compris, on a pas été convaincus… La serveuse était vraiment adorable et je né lui en veux pas un instant, elle né faisait que jouer les messagers, son patron lui chuchotant gentiment des messages à nous apporter à l’oreille. En gros, chez Crab Club, on sait qui est le boss, et ce n’est pas le client. Vous voulez du vin blanc? Faites nous confiance, hop, on vous remplit votre verre sans vous dire ce que vous boirez, c’est comme ça ! Du café? Non, pas de cafetière. Payer en CB? Non, pas de machine — comment ça, vous n’avez pas 80 euros en cash sur vous ?! Un autre vin blanc? OK, mais vous né saurez toujours pas ce que c’est. Votre collègue part en courant chercher de l’argent? Hop, on vous fait vous lever (femme enceinte incluse, pour le bonus) et aller patienter sur un banc dans l’entrée pendant qu’on installe quelqu’un d’autre à votre place… Oh wait… non, pendant que personne né touché à votre table et né vient la desservir, ça c’était juste histoire de vous faire finir votre soirée en beauté… En gros, un bon decrescendo alors qu’on avait super bien mangé…
Verdict? Malheureusement non, je n’ai pas vraiment envie de recommander, pas envie non plus d’y retourner… Et c’est bien dommage, parce que niveau cuisine, personnellement j’étais à 5 étoiles !

J’hésite. Je vous parle d’abord de ces plats exquis, dignes d’une réelle envie de bien faire? Ou de l’accueil, à ranger dans la catégorie des amateurs???
Excité comme une puce ! Voilà ce que j’étais…à l’idée d’emmener mes 2 collègues françaises dîner chez «Crab Club, l’ouverture dont tout le monde parle», coentreprise de 2 grands bruxellois de coeur. J’ai même eu l’envie d’en rajouter une couche en parlant de cette adresse dans ma chronique la semaine passée, sur Pure FM.“un parti pris, celui de travailler les produits de la mer, dans un quartier qui né demande qu’à voir fleurir de nouveaux commerces du genre” c’est à peu de choses près ce que j’ai raconté.
Et le parti pris fonctionne ! Niveau concept, goûts et associations, c’est vraiment bien tapé. La carte donne envie, on choisit 4 plats à partager pour 3, qui tourne entre les 10−17EUR. Les palourdes aux chanterelles sont délicieuses, c’est léger, une bonne mise en bouche pour la suite, le duo mangue/​fenouil que l’ont aurait aimé voir arrivé en même temps que les best-of’s «Cochon et Calamar» et «Poulpe aux Figues & Figatellu». Tadaam. C’est super gourmand mais surtout, étonnant…quasi sans fautes pour la cuisine… modeste, elle.
Pour l’happy ending et les sourires, on repassera.
«La machine bancontact né marche pas…»
Pauvre petite serveuse, on lui a filé le sale boulot, celui de venir nous l’annoncer en fin de repas. J’avais pourtant pris le soin de réserver, une semaine à l’avance, par téléphone…nous prévenir aurait été un bonne idée. Soit. Je mets ma veste, je sors, il drache. Je cours vers le parvis pour retirer l’argent. Grr.
À mon retour, mes 2 collègues (dont une qui est enceinte de 7,5 mois) sont sur le banc, près de l’entrée. Pauvre petite, elle nous a achevé…on lui a à nouveau demandé de faire le sale boulot, celui de gentiment virer mes collègues de leur table à 22h44, pour pouvoir commencer à dresser (pour le lendemain !?)…alors que le restaurant est encore plein à craquer.
En conclusion, j’ai l’impression qu’on s’est pris le champignon.
À force de se prendre la tête sur la vaisselle déparayée et sur ces lampes industrielles, on en oublie les choses simples, comme l’accueil, le service, l’hospitalité et les bonnes manières.

Pretty hard to give a glowing review to a restaurant that treats its customers with such little respect.
After spending an enjoyable meal at this newish fish/​seafood restaurant with a minimal décor (but even more minimal service), we asked for a coffee and were told that there was no coffee machine. Ok, we can live with that.
Then when we went to pay the check, we were told that there was no credit card machine. Um, that’s really lame, especially since they could have warned us in advance and that’s extremely inconsiderate when you’re talking about a healthy sum of money that no one really has just lying around in their pockets.
While the sole raincoat-​wearing member of our table braved the wet walk to the cash machine, the waitress came over with another bit of news, and this was the true icing on the cake: Could we please vacate the table and wait in the entrance on a rickety bench for our friend to return with the cash?!!
Let me specify that I am 7.5 months pregnant and that’s just not a smooth move service wise, especially considering the circumstances for our asses still being in those chairs!
A very disappointing end to a rather tasty meal. Just a reminder that service is much more than an afterthought, it’s the window into the business owner’s soul.

Testé il y a 10 jours. Très bon, surprenant juste comme il faut! J’ai adoré le pot au feu de poulpes et les tellines (un doux goût de vacances…).
Vins agréables et tout ça pour un prix plus que correct!
Seul regret, l’absence de dessert mais peut être est ce dû à l’ouverture très récente…

A défaut de faire toutes les nouvelles adresses de la ville, j’ai résolu de me concentrer sur les meilleures. Quality first que j’me suis dis! C’est donc comme ça que j’ai décidé de tester ce fameux «Crab Club», fruit (de mer) des ébats de Philippe Emanuelli (Café des spores) et de l’insatiable Frédéric Nicolay.
C’est dans le bas de la chaussée de Waterloo à quelques mètres de la porte de Halle que ce situe l’endroit niché dans une drôle de maison dont l’énorme chassis à front de rue et le brut étudié de l’intérieur né laissent pas beaucoup d’indication quand au style historique.
Alors que le restaurant est ouvert depuis moins d’un mois, j’en ai déjà entendu beaucoup parler, autant à la radio qu’à travers les différents avis de journalistes auto-​proclamés et autres gastronomes affamés de nouveautés. Je m’attendais donc à me voir refuser une réservation de dernière minute un vendredi soir, mais pas du tout… les bloggeurs né sont apparement pas de sortie ce soir!
A l’intérieur c’est béton lissé au sol, briques nues et tuyaux de chauffage apparents, le tout éclairé de multiples et pendouillantes lampes industrielles genre bateau de pêche. Les tables et chaises semblent tout droit sorties d’une école et la vaisselle (déjà à table) est de type porcelaine récupérée grâcieusement classique. Old Style is the New Style!
Alors qu’il doit y avoir 40 couverts et que c’est loin d’être complet, je reconnais Mamzelle Prélude d’un côté et M’sieur Gazetta de l’autre, qui entre repérage et copinage trinquent avec le patron qui est autant au service qu’en cuisine. C’est d’ailleurs en personne qu’il viendra nous conseiller le sympathique — mais fort sec — vin blanc originaire de Ténériffe qui accompagnera notre repas. On nous explique que pour ce dernier la formule maison est celle de plats à partager façon tapas (d’où les assiettes à table) et qu’il faudra nous brosser pour le dessert. C’est une bouche frustrée, heu… sucrée qui parle.
Comme la carte peinte à la main sur une vitre nous allèche de tous côtés, il semble fort difficile de né commander que le strict minimum. Pas vraiment d’entrée ni de plat: tout est à taille moyenne. On se partage donc une salade de mangue, (rien de spécial, 8 €) des sardines fumées, (excellent, 12 €) un pot au feu de poulpe, (pas mal du tout… surtout la bestiole, 18 €) ainsi qu’un poulpe au figatellu (saucisson de foie) et figues, (original, 16 €) et un porc aux palourdes. (surprenant, prix oublié)
Dans l’ensemble tout est très bon et ultra frais mais rien né m’extasie à 100%. Il faut savoir que les produits né sont quasiment pas travaillés ce qui donne à mon sens un (manqué de) goût minimaliste genre «produit de la nature sans intervention humaine». Un concept qui a certainement des adeptes mais auquel je n’adhère qu’à moitié…
En fin de compte une belle soirée dans un bel endroit auquel il manqué malgré tout une petite touché de magie, l’addition s’étant soldée à 98 € me semblant néamoins fort raisonnable. Attention cash uniquement!

Décoration brute et soignée, à l’image de la cuisine. On s’est régalé avec le maigre cru à la poutargue, et le poulpe aux champignons. On a choisi de se laisser guider avec un verre de vin au verre assorti à chaque plat, à refaire les yeux fermés. Les prix sont plus que raisonnables pour la qualité des produits et l’originalité de la cuisine.

Nouvelle adresse à Bruxelles à peine ouverte, déjà complet, ça va clairement être la cantine de pas mal de riverains (oui, si on vient d’un peu plus loin, prenez les transports en commun, le quartier n’est pas le plus facile niveau parking).
Philippe Emanuelli et Frédéric Nicolay (à cela s’ajoute le chef ex-​Wine-​bar-​du-​Sablon), c’est l’équipe gagnante.
Un cadre brut qui aurait pu être froid si ce n’était pas réchauffé par les tables en bois ainsi que le service d’assiettes dépareillée de grand-​mère.
Un menu aux surprenantes mais délicieuses associations. Découvertes de saveurs autour des poissons, crustacés et coquillages. Le tout en mode convivial, on pioche dans les assiettes des potes. C’est vraiment une belle découverte. Longue vie à Monsieur Crabe!

Vous connaissez certainement Philippe Emanuelli! Il a créé le «Café des Spores» et la gamme de produits «Supersec». Après avoir écrit d’excellents ouvrages paru chez Marabout à propos des champignons, des coquillages et des crustacés et enfin des poissons, il nous revient avec un nouveau restaurant, le «Crab Club».
Ce Breton d’origine nous invite tout naturellement à y déguster une cuisine de la mer franche et sans chichis, simple et efficace quoique parfois étonnante lorsqu’elle puise son inspiration en Asie. Son associé dans le projet est d’ailleurs un chef d’origine thaï.
Tout est délicieux et parfaitement cuit, comme ces délicieuses palourdes aux haricots de Paimpol et «thon cotton» où cette ébouriffante salade de poulpe, figatelli et figues. Les vins sont eux aussi choisis avec soin, normal puisque le bonhomme est sommelier.
Que dire de plus si ce n’est que la déco brute signée Nicolay fait mouche comme à chaque fois et que les prix sont plus que raisonnables… Un lieu déjà incontournable!