Salle Pleyel

Ok… I’m really sorry to be a Scrooge here, but this hall sucks!
I visited Paris to watch a rare performance of the Scriabin Symphony No. 3. While the concert itself was amazing, the venue was definitely subpar! With excitement for the musical selection of the evening, I purchased the most expensive type of ticket. From row of the balcony. HUGE MISTAKE!
I’m a small guy… like tres petit like an oompa loompa. So you can imagine my surprise when my knees hit the wall packing my in my seat tighter than being packed onto a Ryanair flight sitting next to a larger-​than-​life passenger. To make matters worse, the seats jut out farther than normal chairs leaving almost no room to move and the edge of the chair cut off the circulation of blood from the back of my legs. Throughout the concert, I was forced to figure out three different crunched up positions to place my legs to prevent them from completely losing feeling. Mon dieu!
On a plus side… I enjoyed the enthusiasm from the audience. Abundant and synchronized clapping demanding encore after encore! If my legs were able to withstand a longer performance, I would have been a little more enthusiastic myself. But please take this with a grain of salt. I live in Amsterdam and go to many concerts there. SUPER awesome hall, great daily performances and best of all free booze before and during intermission.
Sorry Paris, but it’s time for a face lift!!!

J’apprécie beaucoup la programmation hétéroclite et toujours de haute qualité de cette salle de concert habituellement réservée au classique.
Le cadre est très beau avec son hall art déco et une salle aux dimensions spectaculaires avec son agencement particulier. Les fauteuils son confortables et la scèné est toujours bien visible même depuis le fond.
Le public est plutôt élitiste mais assez varié (jeunes, vieux, hipster, bourgeois, bobos), toutes les catégories sont assez bien représentées.
Seul bémol, la hauteur sous-​plafond peut-​être trop importante pour une acoustique parfaite, ce qui fait que le son a parfois tendance à s’évanouir un peu avant d’arriver jusqu’aux oreilles du spectateur.

Cette salle possède une acoustique extraordinaire depuis sa rénovation.
La programmation permet d’attirer un public de musique en tout genre
(classique, de chambre, d’opéras, musique contemporaine, musiques actuelles comme Feist, Chilly Gonzales, Lou Doillon, Air etc…), bref il y en a pour tous les goûts.
Pas besoin d’être connaisseur, il suffit de se laisser tenter, de se renseigner un peu et de réserver ses places (système en ligne très simple d’ailleurs).
La salle est tellement bien agencée que la visibilité n’est jamais réduite :
— j’ai essayé derrière la scèné, c’est étonnant d’être placé derrière l’orchestre, le son arrive différemment
— en place orchestre, 3ème rang, whaou à tenter pour un concert qui vous fait frissonner
— 1er balcon, plus de hauteur, un son qui monte et vous emporte
— 2ème balcon (places les moins chères) vision de vraiment haut avec une acoustique étonnante
Bref cette salle démocratise la musique ! Si vous vous intéressez un peu au programme vous pouvez avoir des places pour 15euros.
J’y vais 2 à 3 fois l’an selon leur programmation pour du classique. Je sais qu’il existe aussi des concerts accessibles aux enfants.
Dress code? Aucun ! Vous pouvez venir en jean baskets, personne né vous fera une seule remarque.
Évidemment, la clientèle est plutôt âgée, quelque fois un peu guindée (en minorité) mais il y a pas mal de jeunes aussi et il né faut pas hésiter à découvrir par ce biais un univers qui peut dérouter ou rebuter en général parce que complexe ou cher dans un autre contexte (le prix d’une place d’opéra sans abonnement est hautement rédhibitoire en temps normal).

Génial pour la musique classique? Si vous aimez écouter la musique classique, alors il faut à tout prix aller dans cette magnifique salle. en plus pour les jeunes ou étudiants, il y a des prix très intéressants.

We have only been here once but it was a knockout concert (Martha Argerich with Claudio Abbado) and we liked the venue as well. We were surprised that the median age was as low as it was compared with classical music venues we have frequented in Seattle and Munich. Also people were well-​dressed but less formally dressed than in both those places. The bar during intermission was crowded and poorly staffed but very efficient. Nevertheless, it pays to rush there.

Une très belle salle Une super acoustique des concerts classiques exquis et avec ça avec des prix largement raisonnables.

Une acoustique prodigieuse même sans amplification !!! Une façade et un hall dans le plus pur style art deco, une programmation formidable … Bref un lieu qui mérite sa réputation !

TRISTAN et ISEULT,
TRISTAN UND ISOLDE
Samedi 13 octobre 2012, 19H30
Ah la belle soirée !
Je né vous parlerai que d’elle et de l’émotion qu’elle a suscitée.
Si vous voulez en savoir plus sur la salle Pleyel, je vous renvoie à mon avis ci-​dessous :
et si vous voulez tout savoir sur Tristan et Iseult, lisez cet article :

19H20: Salle bondée, atmosphère électrique.
Les Parisiens se préparent à vibrer durant 3H 30 et attendent avec fébrilité les premières mesures de cet opéra de Wagner en version concert.
La raison principale de cette excitation est sûrement la présence de la diva Nina Stemme dans le rôle d’Isolde.
Elle est considérée aujourd’hui comme la plus grande soprano du monde dans ce rôle difficile.
Le chef prodige finlandais Mikko Franck (33 ans !), qui a déjà dirigé les plus grands orchestres de la planète, remplace au pied levé Myun-​Whun Chung, le chef habituel de l’orchestre philharmonique de Radio France retenu auprès de son fils accidenté.
Au pied levé est d’ailleurs une expression inappropriée car le jeune Mikko souffrant des hanches va diriger l’orchestre assis dans son fauteuil rotatif.
(Voir photo ci-​dessous) (Voir photo ci-​dessous) Mikko Franck und Richard Wagner
Les premières notes retentissent. La complicité entre ce chef et les musiciens qui pourtant se connaissent à peine est stupéfiante.
Rotations du fauteuil, regard tendre ou pénétrant, implorant ou caressant du maestro, mouvements amples ou légers des bras et de la baguette, les musiciens obéissent et le public est transporté dès les premières notes.
Chapeau !
Les trois actes s’enchaînent entrecoupés par deux entractes. Les surtitres qui défilent traduisent les paroles.
Le public envouté écoute dans un silence religieux ce bouleversant opéra qui est le chef d’oeuvre de Wagner. Franz Liszt a déclaré après l’avoir entendu: «Que voulez-​vous composer après ça? «
La tragédie se termine à minuit pile par la mort de Tristan et d’Isolde.
(Voir photo ci-​dessous)
Difficile de retenir ses larmes en écoutant la plainte magnifique de Nina Stemme.
Video link:
Liebestod, Tristan und Isolde, Richard Wagner. Nina Stemme
La dernière note vient d’être jouée.
Elle est suivie d’un long silence.
Les spectateurs sonnés sont sous le choc puis c’est un tonnerre d’applaudissements.
La salle se lève et crie bravo pendant dix bonnes minutes.
Les rappels succèdent aux rappels.
Les musiciens font un triomphe à leur chef en tapant de leurs archets sur leurs instruments à cordes, ma voisine hurle NINA, NINA, NINA !
Tandis que ma femme me soufflé à l’oreille: c’est magnifique, j’essuie furtivement quelques larmes.
(Voir photo ci-​dessous) (Voir photo ci-​dessous) L’affiche:
Tristan et Isolde (opéra en version concert) de Richard Wagner
Nina Stemme, soprano Isolde
Christian Franz, ténor
Tristan
Sarah Connolly, mezzo-​soprano Brangäné
Richard Berkeley-​Steele, ténor Melot
Detlef Roth, baryton Kurwenal
Peter Rose, basse Le roi Marke
Chœur de Radio France
Matthias Brauer, chef de chœur
Orchestre Philharmonique de Radio France
Mikko Franck, direction (en remplacement de Myung-​Whun Chung)
Des soirées comme celles-​ci, j’en redemande.

La salle Pleyel c’est la salle de concert part excellence, de par son acoustique exceptionnelle mais aussi par sa disposition, partout dans la salle on voit sans se contorsionner, et comparé à pas mal de théâtres antiques (certes très beaux mais antiques) parisiens ou l’on à toujours peur de prendre une place à cause du placement. et la programmation est vraiment sympa. J’ai pu y voir Emilie Simon, et encore une fois La salle Pleyel a très bien mis en valeur son artiste :)

Je vous dit un grand merci à tous, car j’adore le piano (surtout les Romances) et comme je né connais pas cette endroit; grâce à vos avis je vais pouvoir y aller .
Photo link:

Un moment inoubliable ce dimanche 6 novembre dernier (2011) pour the Fairy Queen (en version de concert) de Henry Purcell à la salle Pleyel. Les airs de Purcell m’ont bercé depuis mon adolescence notamment If love’s a sweet passion, et surtout les contre-​tenors ou hautes-​contre (au choix).
Sinon, la salle Pleyel est superbe (mieux que la Cité de la Musique). Ce jour là, comme il avait des places devant, et comme j’étais un peu derrière, on nous a invité à nous rapprocher de la scèné. Vraiment inoubliable. J’ai adoré.

Il m’aura fallu plus d’une semaine pour m’en remettre… Non, c’est faux, je né m’en suis toujours pas remis. Le concert de Cat Power à la Salle Pleyel fut un grand moment de musique: gracieux, lyrique, tantôt blues déchirant, tantôt rock affirmé et toujours au bord du précipice jusqu’à la fin, heureux dénouement pour une artiste effrayée par la scèné au point de la quitter soudainement sans attendre la fin d’une chanson, mais délivrant deux heures d’une performance envoûtante comme l’on en rencontre peu dans une vie …
Peut-​être était-​ce lié à l’endroit? La salle Pleyel est un lieu agréable de 2000 personnes traditionnellement dévolu à la musique classique et qui s’ouvre au «rock «quelques soirs de l’année selon un processus assez clair: pendant l’année, on invite une légende du rock à venir rejouer l’un de ses albums mythiques (ainsi, j’ai pu voir cette même année «John Cale plays 1919 «encadré par un orchestre classique et «Patti Smith plays Horses «. Quant à Patti Smith, l’icôné du rock n’a rien perdu de son énergie et sa capacité d’indignation est intacte. Ce fut une vraie leçon de Rock, tranchant et engagé (sur scèné comme pour les idées).
Ensuite, la seconde parenthèse rock intervient avec la période du festival Days Off, début juillet, lequel sollicite la salle Pleyel et la Cité de la musique pour des concerts assez pointus accueillants assez souvent des artistes ayant les faveurs des critiques, mais aussi du public (Metronomy…).
Hormis sa disposition générale, son acoustique et son confort, la Salle Pleyel bénéficie d’un autre atout de taille en la billetterie. Son personnel, d’abord, est adorable (souriant, aimable, disponible… la crème ! Je crois utile d’insister sur ce point). De plus, il est loisible de poser une option pour un billet sans avoir à le payer jusqu à deux jours avant le début du concert. L’on peut alors sans peine réserver un billet longtemps à l’avance sans s’inquiéter de son éventuelle destinée. Cette technique m’a permis ainsi, en réservant tôt le cœur léger, de me trouver placé au milieu du premier rang pour ce fameux concert de Cat Power où ce soir-​là, elle su rendre au mot, au beau de grâce son sens plein et initial.
Un grand merci, donc à la Salle Pleyel pour tous ces beaux moments !!!

Une salle superbe avec un son merveilleux. Entre le jazz et le classique on né sait ou mettre de la tete. Les célèbres pianos du même nom sont vendus sur place et on trouve également de nombreuses écoles de danses pour les futures petites danseuses étoiles…

Une des plus grandes salles de musique classique de Paris, en attendant l’ouverture, un jour, peut-​être, de la Philharmonie de la Villette (Arch. Jean Nouvel).
Le hall est superbe, le foyer aussi, mais la salle, très fonctionnelle, manqué totalement de charme pour moi (la grande rénovation menée à bien il y a qq années a cruellement manqué de fonds sur la fin…).
En revanche, innovation bienvenue, des places ont été ajoutées derrière l’orchestre — comme à la Philharmonie de Berlin. Pas disponibles pour tous les concerts, elles offrent une perspective décalée et originale et valent la peine d’être tentées: vue directe et de face sur le chef d’orchestre ! (Mais ce n’est pas la peine de vous mettre à chanter…)
Depuis la réouverture, la programmation est portée par la Cité de la Musique, préfiguration, là encore, de l’hypothétique Philharmonie de la Villette. A suivre…
PS: pour un néophyte, l’acoustique est fabuleuse, bien sûr !

On m’a offert 2 places pour un concert de mon choix à Pleyel et je né sais pas quoi choisir ! Des conseils?

Le célèbre constructeur de pianos a perpétué une longue tradition d’amour de la musique et des beaux instruments, en ouvrant, en 1927, les portes de la Salle Pleyel.
Destiné à toutes les créations musicales, c’était le premier centre artistique qui fut longtemps unique au monde, en offrant les meilleures conditions de travail et d’interprétation.
Le show-​room de l’atelier Pleyel est toujours resté dans les lieux, mais la salle est rattachée à la Cité de la Musique, dont elle est une des filiales.

Une saison 2010 – 2011 qui s’annonce superbe, même si on garde une impression de déjà-​vu sur certains programmes.
On n’échappe plus aux habituelles symphonies de Mahler, Brahms et Beethoven… c’est ainsi que l’on remplit les salles, ma foi. Cependant, quelques surprises nous attendent cette année, notamment par l’Orchestre de Paris.
Certainement pas une acoustique géniale, non ! On attend mieux sur Paris, avec la nouvelle construction au parc de la Cité de la Musique… A suivre…

Découvert à l’occasion d’une sortie «bon plan» entre amis, j’ai pu apprécié les sons mélodieux d’un orchestre symphonique dans une salle absolument splendide. Il existe toute une gamme de tarif dont la plus basse à 10EUR qui vous amèné dans les cieux… tout en haut de la salle ! Et quand je dis en haut, c’est vraiment très haut, si bien que j’ai pratiquement eu le vertige ! La musique apaisante aidant, j’ai réussi à me controler, né vous inquiétez pas :)
La salle Pleyel a récemment accueilli des artistes tels que Yaël Naïm ou Alela diane dans le cadre du festival Fays Off.
La programmation est éclectique: du jazz au contemporain en passant par le classique …

Une salle vraiment splendide ! Se réfection a été extrêmement bien faite. L’acoustique est géniale, les sièges très confortables, l’architecture du lieu est splendide, naviguant entre ancien et moderne, et petite particularité: sur certains concerts on peut se retrouver derrière l’orchestre ! Dépaysement garanti !
Après pour ce qui est de la programmation, elle est excellente et relativement éclectique: j’y ai déjà écouté des orchestres, des jazzmen (Sonny Rollins en 2007 !!!), etc.

Si on aime la musique classique, cet endroit revêt une telle élégance et un harmonie des sons si parfaite, qu’il faut absolument y aller.
C’est une amie qui m’y a emmenée la première fois, pour un concert de piano classique. Et je peux vous dire que la salle est à la hauteur de sa réputation. L’acoustique est démente, l’ambiance feutrée et timide… on se croirait comme projeté au cœur de l’orchestre, tellement la passion qui se dégage de cette salle vous prend littéralement à la gorge. Un beau moment d’émotion.

La salle Pleyel est une institution pour tous les amateurs de musique classique. Si la filiale est surtout connue pour ses pianos, elle né s’en contente pas et crée en 1927 une salle de concert de 3000 places.
J’y suis allé il y a quelque jours pour la présentation mémorable de la nouvelle pièce de John Adams, «City Noir», et j’y retournerais chaque jour avec plaisir si je le pouvais. l’entrée, magnifique avec son velours rouge et son marbre crème, accueille les spectateurs avec dignité et confort. Le personnel est agréable et discret, le vestiaire rapide, tout est fait pour nous préparer à oublier le temps et nous fondre dans la musique.
La programmation y est recherchée et pourtant accessible, car on y troue des compositeurs et des orchestres du monde entier, s’essayant au romantisme ou au baroque, au jazz ou à la musique contemporaine. L’Orchestre de Paris y est actuellement en résidence.
Pour les jeunes de moins de 28 ans, c’est une aubaine: on y trouve des places de dernière minute à 20 euro, toutes catégories confondues, pourvu qu’on arrive avant qu’il n’y ait plus de places. Ce qui donne parfois vingt euro au lieu de cent soixante. Bref, un lieu magique que l’on gagne à voir plus souvent.

Super salle de concert symphonique.