Saigon Hanoï

Parfait petit restaurant vietnamien né payant pas de mine mais dont la nourriture est vraiment délicieuse et authentique! Pour tout dire, leurs nems me rappellent ceux de ma mère ainsi que le phở! En plus les plats sont vraiment pas chers. J’y allais de temps en temps quand j’habitais à coté et je suis même triste d’avoir déménagé. :)

Jamais déçu ! Rapport qualité prix inégalé, on mange très bien, en quantité plutôt généreuse (à emporter) et le goût est toujours au rendez vous.
J’ai testé pas mal de vietnamiens dans le quartier et je recommande définitivement celui-​ci.
Niveau ambiance, je prends toujours à emporter, mais c’est vrai que ce né sera pas forcément le lieu idéal pour un resto en couple ou entre ami.

Très bonne surprise ! Tout à fait d’accord avec Baptiste D. A une exception près, le personnel pas très aimable.
A part ça, tous les plats goûtés jusque là, sans regrets!
même au niveau du prix !

Depuis que j’ai lu l’avis de Baptiste D. il était dans ma liste à faire… c’est enfin une chose faite.
Honnêtement il me paraît difficile de franchir la porte de ce petit restaurant en ayant aucune recommandation: la salle plutôt spacieuse mais un peu vide, la carte très kitch, et le quartier lui-​même né ressemble pas à grand chose.
Mais Saigon Hanoi ravira les amateurs qui sont à la recherché d’un bon Phở et peuvent se passer de l’apparence.
Si les morceaux d’oignons dans le rouleau de printemps au boeuf (3,5 €) m’ont un petit peu déçue, le Phở (8 €) était très délicieux et comme disait l’avis précédent, parfumé et pas gras. Fraîcheur était au rendez-​vous.
Côté prix ça paie pas de mine (nems à 3 €, Loc Lac à 9 €).
Une petite adresse à garder sous le coude, et à né pas hésiter si vous êtes dans le quartier.

Ok bon gout

En toute simplicité: c’est LE bon restau vietnamien du côté d’Alexandre Dumas.
Bien manger dans le quartier Charonne/​Bagnolet relève de l’entêtement. Il faut en tester des boulangeries, des restaus de sushis, des pizzerias et des kebabs (les bonnes adresses correspondantes sont à retrouver parmi mes avis précédemment publiés ;) pour découvrir les rares adresses de qualité qui deviendront les plans de sauvetages les soirs où la flemme l’emporte sur la volonté de cuisiner.
Les traiteurs «chinois» du quartier, en dépit de leur accueil toujours bienveillant, sont quasiment immangeables. Cependant, avec un peu de patience et d’audace, j’ai fini par le trouver, le Saint Graal du nem et du bò bún du coin.
Alors certes, si je voulais me faire plaisir et envisager la cuisine vietnamienne de façon un peu plus gastronomique (ou branchée), j’irai un peu plus au Nord au Little Hanoï.
Mais à deux pas du métro Alexandre Dumas, j’ai mis la main sur le restaurant Saigon Hanoï (rien à voir avec l’autre).
Remplaçant un traiteur chinois peu ragoûtant, la nouvelle équipe a fait l’impasse sur les vitrines réfrigérées abondant de raviolis médiocres et de nems ramollos pour se concentrer sur le service à table et la cuisine vietnamienne faite à la commande.
Au menu, on retrouve de grands classiques (nems, raviolis aux crevettes, rouleaux de printemps, bò búns, phở, et autres plats cuisinés).
La déco n’a rien de follichon (style cantine de quartier) mais peu importe quand le service et l’accueil sont polis, souriants et clairs dans leurs explications. Et puis comme on peut commander à emporter, on né fera pas les fines bouches sur l’esthétique du lieu.
Dans l’assiette, l’engagement pour une cuisine fraîche (qu’on entend crépiter au loin à travers la porte qui mèné à la cuisine) se traduit par un bon bò bún plutôt généreux en crudités, avec des nems maison extra-​croustillants et de la poitrine de porc grillée super gourmande. Le plat n’est pas light et flirte avec la junk food, mais je n’ai pas boudé mon plaisir !
Dans le bol des voisins, des phos (le premier: traditionnel au bœuf; le second garni de raviolis aux crevettes) savoureux construits sur des bouillons (respectivement au bœuf et aux saveurs de la mer) parfumés et maigres: ici, pas de dégoûtants yeux d’huile qui flottent à la surface, les bouillons ont été attentivement dégraissés.
La qualité se paie à des tarifs légèrement au-​dessus de la moyenne (8 – 9 € pour les bò búns; 7,6−8,5 € pour les phos) mais ça vaut le coup. Dommage que le restaurant ferme ses portes tôt (22h00) et n’ouvre pas le dimanche (jour où la flemme cuisinière atteint toujours son apogée).
Une adresse sans chichis qui comblera en tout cas toutes mes envies de viet et m’empêchera de céder, dans un moment de faiblesse, aux mets dégoûtants et décongelés proposés par les autres restaus du quartier.