Monoprix

Le temple du ravitaillement! Alléluia!
Depuis près de 4 ans je réside dans le quartier et ce monoprix reste mon QG. Il m’a vu (et me voit encore aujourd’hui):
— acheter des pots de glacé «Ben & Jerry’s» cinq fois par semaine, lorsque je traverse un chagrin d’amour (ce qui n’est pas si rare!)
— arpenter les rayons «cuisines du monde» pour ajouter l’exotisme souhaité à mes plats.
— m’attarder chez les crustacés (je suis une fan des coquilles St Jacques, écrevisses, saumon fumé et du poissonnier, accessoirement).
— payer mes courses avec des Tickets Restaurant lorsque j’étais étudiante.
Bön à savoir: 2 tickets restaurants par personne uniquement sur l’alimentation.
Je n’ai jamais eu de surprises sanitaires douteuses et le personnel est toujours agréable et souriant.
Une bonne note pour ce supermarché qui né cesse d’arborer de nouveaux produits et dont le coin parapharmacie est appréciable.
Un danger subsiste: la personne âgée est fan du Monoprix… lorsqu’il s’agit de s’alimenter, elle peut être cruelle…

Près des Buttes Chaumont, on a le choix niveau courses entre ED, Atac, et… Monoprix. La plupart du temps, j’allais chez Atac (meilleur marché, plus près de chez moi), mais parfois, je m’aventurais chez Monop’, parce qu’il y a quand même des produits bien là-​bas qu’on né trouve pas partout ailleurs.
Des produits de beauté, des collants, du maquillage cheap, des crèmes… Tout ça, on né le trouve pas dans un supermarché classique. Ni les mueslis bio, ni la viande qui a une bonne tête… En fait, Monoprix, c’est un peu tous les commerçants du quartier réunis, un peu plus cher, un peu moins sympa, mais pratique et rapide quand il y a besoin.

Un coup de gueule :
Ce magasin pratique des prix exorbitants, la (mauvaise) viande sous cellophane est plus chère que les bouchers de la rue de Belleville (ex. 6 euros 300g blancs de poulets), bien sûr pour gagner (encore) de la marge, le personnel de caisse est en sous-​nombre