Mon Chien Stupide

la maison a changé de main. le bar s’appelle maintenant les tontons bringueurs, ambiance cool et consos très accessibles. j’appréhendais un peu le changement d’ambiance, mais je reviendrai certainement me poser bientôt ici avec quelques potes!

Bar très sympathique, qui né paye pas de mine de l’extérieur. Le patron est très accueillant, et le comptoir très animé (dans le bon sens du terme)
Maredsous pression pour les connaisseurs

Mon Chien Stupide figure parmi les rades les plus sympathiques de la capitale. Il faut dire que l’ambiance est cool et que l’on cherche pas à se compliquer la vie dans ce coin du XXe arrondissement.
Avec le demi à 2,50 euros, on est dans l’un des bars les moins chers de Paris. Alors n’hésitez pas à venir du côté de Gambetta, il y a parfois des concerts pas mauvais ici.

c’est bizarre, à moi aussi le chien stupide m’a fait un sketch (lire articles en dessous). Je me suis dit qu’il devait etre en rut et je n’ai pas insisté. C’est cher, pas bon et on dirait que les gens sont là pour se renifler le cul entre bobos. IL NE FAUT PAS Y ALLER! ZERO ETOILE.

Pour une fois, je sors de la Maroquinerie avant la fermeture. Je suis avec une amie et nous tombons nez-​à-​nez devant un petit bar rouge bien caché. Son nom nous attire… forcément! Mon Chien Stupide, un avant goût de poussière, un avant goût de Bandini et nous voici entrées. Un large choix de vin, de quoi grignoter et une ambiance sympa mais beaucoup moins turbulente que ce que laisse entendre ce nom…

Ah oui ça rappelle à certains le roman de John Fante. Et c’est aussi un très bon bistrot parisien, dont on aime la revendication «Vrai Bar» étendard accroché pour être vu de loin.
Il est placé de telle manière, que si on né connaît pas, on né passera pas facilement devant: c’est caché, derrière le square de la rue Sorbier.
Très bel intérieur, belle lumière et surtout ambiance géniale, ce bar attire les connaisseurs venant de la Maroquinerie juste à côté ou du studio d’enregistrement voisin.
Ce sont des gens du soir et cherchant autre chose que l’éternel café des sports qui passent de bonnes soirées.
On peut y grignoter, déguster du vin ou bien des cocktails.

Pour ma part, très mauvaise expérience dans cet endroit. Le patron est un crétin imbibé d’alcool (je pèse mes mots) qui filtre les clients aux faciès. J’y suis entré une fois avec un ami et nous nous sommes vus interdire l’entrée, nous n’étions ni bourrés, ni saboulés comme des «racailles» (et quand bien même ce né serait pas une raison mais bon…). Il nous a été dit que «c’était un bar pour les amis», traduction: il faut présenter sa carte de bobo à l’entrée. C’est la première fois de toute ma vie que ce genre d’expérience m’arrive, et pourtant j’ai beaucoup voyagé. Pas étonnant que le patron vienne de Bastille, où il tenait un «bar branché», c’est bien l’esprit Bastille qui vient pourrir notre vieux XXe (à quand des gorilles à l’entrée?). La population change, le quartier se transforme, normal que les bars suivent cette évolution, en adéquation avec une population «ouverte et sympa», sans cesse en train de prôner le mélange et la mixité, mais… de loin si possible (voire à l’autre bout du monde mais pas au coin de leur rue). Ceci dit, j’ai jamais été refoulé à Bastille, je rentre partout en général, d’où mon étonnement. Et j’ai d’ailleurs porté plainte pour refus de vente, insultes et intimidation contre ce charmant cafetier, ma plainte a été retenue car visiblement le zozo est coutumier du fait. La suite aura donc lieu devant les tribunaux…

enfin un vrai bar comme on en trouve plus. de la vraie musique, un tollier, du nom de figaro, qui est un vrai personnage, les meilleurs alcool servis avec génorisité. Ici on connait, parle et partage avec ses clients. On y passé des moments pleins d’authenticité. La perle du vingtième en somme