Le Québec

There is nothing special about this bar combined with a tobacco shop except for its location. Just across a busy intersection is the famous and always crowded Aux Deux Magots.
It is a great spot for sipping your wine (rather average quality) and watching people. At night there is always a line of Parisiens waiting for their smokes. Waiters are very casual chatting quite frequently with patrons and locals passing by.

Must be the cheapest bar in the 6eme, and it’s not that cheap! The rose was just about passable, although it was my first after a delicious sancerre which nearly broke the bank in a bar down the road, so anyway. The bartender is absolutely mental, but fairly entertaining. It’s a great place to sit and watch the queue of Parisian smokers line up for ages outside as there’s nowhere else to go!

Not just a tabac but probably the most popular tabacconist in Paris judging by the queue down the road. Plus a wicked little bar. Old fashioned lights and signs, big open floor to ceiling windows and a fabulous bar man who seems to do everything (taking orders, sipping pastise, dancing around) while saying uno, dos, tres and who thinks the leaning tower of Pisa is in London. Ice cold rose and a perfect Parisian atmosphere. Brilliant.

Un vrai troquet
Je né connais pas la carte mais le comptoir y est très animé. Poetes maudits, vieux habitués et clients endimanchés du tabac s’y croisent dans une ambiance inimitable. Pour boire 1, 2, 3, 4… bières jusqu’à tard.

C’est hot en esti’ !
Une vraie déco de la belle Province, un patron sympa et des produits typiques (ah la tarte au sucre…). Chaises un peu dures mais ambiance sympa et relax.

Vive le Quebec Libre !
Oui, boulevard Saint Germain il y a une alternative aux Deux Magots et aux boutiques de fringues: le Québec: un vrai rade. Oui ! Vrai de vrai ! En plein 6ème chic. En face du Flore ! (Enfin de l’autre côté du boulevard quand même…) Enfin, un vrai miracle. C’est un peu cradoque (quand j’étais étudiant dans le quartier, je lui donnais le petit nom de «Les trois mégots»), on y fait la queue pour ses clopes, les garçons et le patron sont là depuis des lustres, c’est pas cher, les crocs sont gôutus… Mais le mieux du mieux, c’est l’ambiance une fois une certaine heure passée: on est jamais déçu. Exemples de trips réels vécus au Québec: un soir, panne de courant; ils ont sorti des cierges, les ont distribués à chaque client et on a tous chanté l’internationale ! Ca a fait revenir l’électricité (mais il y en avait encore plus dans l’air !). Un autre: un client avait apporté sa gratte et un bal s’est organisé sur le pouce: une dame plus très jeune et un peu avinée, nous a fait danser la valse (à nous les petits jeunes étudiants en art) jusqu’à la fermeture ! Un autre soir encore: passé 2 heures à discuter peinture avec un des derniers représentants des artistes peintre maudits de Saint Germain qui voulait absolument peindre mon amie nue !