La Java

Très très déçu par cet endroit, j’aime beaucoup sortir pour aller danser mais là à mesure que la soirée passait plus j’avais envie de partir.
Déjà les informations sur le site né sont pas du tout mise à jour, là où on annoncait 3 euros l’entrée avant minuit j’ai du payer 5euros. Vous allez me dire la différence n’est pas énorme mais c’est sans compter sur ce qu’on devait pour le vestiaire, 2 euros pour une veste, 4 pour un sac à main et 6 pour un sac à dos pas du tout encombrant, et les prix augmentent dans la soirée.
Le personnel est pas très agréable et il faut faire la queue pour absolument tout, rentrer, sortir, boire un verre, aller au toilettes… en sortir! C’est la folie!
C’est très prétention pour pas grand chose, mais après on peut pas nier que la musique est cool, je le conseille aux gens qui sont amateurs d’ambiance hypster, c’était juste pour moi pas ce qu’il faut pour que je puisse en profiter pleinement

Toujours super
Voilà une salle que j’adore, à taille humaine, qui passé de nombreux artistes extras ! Jamais déçue ! Toujours une bonne ambiance, on sent que les artistes s’y sentent bien… Petit bémol: veiller à être devant quand on est petit ;)

Comme disait un des commentaires précédents cet endroit est réellement dérangeant mais à la fois attirant !
La semaine dernière j’y suis allée pour un concert avec deux petits groupes inconnus, nous étions je dirais 30 personnes à tout casser dans cet endroit mais nous nous sentions chez nous. Un concert avec de la bonne musique dans un endroit mi glauque mi convivial… Mais je valide tout de même, bonne acoustique et les consos sont bon marchés
Samedi dernier, je suis retournée à la java «soirée trou aux biches» c’est en effet une ambiance bien différente! Nous étions facilement plus de 250 dans la salle, c’était un peu étouffant.
On se croyait un peu dans les soirées underground Londonienne, j’avais l’impression de croiser Beth Ditho, Marilyn Manson, Galiano, Patti Smith tous dans la même soirée. On s’est laisse emporter par la musique, par l’ambiance par le lieu.
Si vous êtes curieux et si vous aimez la nouveauté je vous conseille d’essayer une soirée ou un concert dans ce lieu.
Un avis partagé entre le «je suis fan» et le «pas mal»…

Cette boîte est en effet très vieille, et donc carrément vieillotte par sa déco et donc forcément UBER-​KITSCH!
Je m’y suis rendue pour la soirée gay Trou aux Biches de la rentrée et c’était la folie, la queue s’étendait jusqu’au trottoir, ce qui m’a bien laissé le temps d’apprécier la fraîcheur de la nuit sous la galerie avant d’affronter la moiteur, les spotlights d’un autre temps, un physio très retord et des toilettes riquiqui…
C’est un peu sale, un peu étouffant et le son n’est pas extraordinaire.

Les grosses soirées et les grosses boîtes où s’entassent plusieurs centaines (voire milliers) de clubbers, ce n’est pas mon truc. Et c’est rien de le dire ! Vieux avant l’âge, il faut se lever tôt pour me faire sortir passé minuit.
La Java a pourtant tout changé: les soirées clubbing queers et folles qui viennent hanter ce lieu mythique certains samedi m’ont donné goût à la nuit.
Ce lieu perdu dans le temps, qui n’a pas cédé à la branchitude d’une déco lounge et semble resté dans son jus depuis des décennies, est en tout point charmant et accueillant avec sa déco rétro, son plafond bas et sa salle toute en longueur, qui lui confèrent un côté cosy que n’ont pas les établissements «toujours plus grands».
Le cœur a ses raisons que la raison ignore… et je crois que j’aime La Java simplement parce que je l’aime. Et aussi pour tous les excellents moments que j’y passé, en présence de créatures plus fascinantes les unes que les autres.

Une galerie ouverte nous amèné jusqu’aux videurs et une jeune femme qui nous demande si nous sommes sur une liste. Notre réponse: NON!
On nous demande alors 10 euros (sans conso). Un escalier à gauche, un à droite. A droite, c’est la descente vers cette salle parisienne, ce club qui existe depuis des décennies… Et oui, c’est ça, Paris… Rien né bouge… Tu pars 10 ans à l’étranger et tu retrouves les mêmes endroits qu’avant… ce côté statique, figé, me consterne…
Bref, nous sommes samedi, il est minuit trente, nous donnons nos vestes (1 euro le vestiaire) et nous accédons au bar, situé en retrait de la piste de danse. Des gens accomplissent une chorégraphie avec un prof de danse. Amusant. je n’étais pas venu pour apprendre à danser.
A 1h, le cours est fini. Le DJ balance la musique: de l’excellente house vocale, du genre Garage (wow, on se croirait à Londres)…Oui, enfin.
On se pose à une des tables collées le long du mur à gauche et on observe…
Vous connaissez le mot «Freak»? Il n’y a pas d’équivalent en français…
Que des «freaks» sur la piste… Un grand type efféminé se dandine n’importe comment en mimant de se toucher les parties, une black avec des fesses ENORMES s’agite, des nanas habillées de robe léopard tenant leur petit sac sous le bras dansottent tout en observant si on les observe…
Un spectacle affligeant sur une excellente musique… On s’est cassé vite fait… Comment vous expliquer ce que j’ai ressenti après mes nuits à Londres, Berlin ou Moscou… J’y arrive pas! Paris, c’est vraiment pas une ville clubbing!
Ok, j’suis peut-​être snob…

La Java Belleville, club que je fréquente depuis des années, d’une part pour les excellentes soirées electro/​house avec des dj set assez réputé, d’autre part pour la bonne ambiance ainsi que pour un staff tout à fait sympathique!
Les prix sont très raisonnable pour Paris et les barmans né sont pas radins!
Concernant le vestiaire, il est à éviter, c’est le bordel ou même y en a pas.

Une boîte sympa avec une clientèle cool et qui se la pète pas, les soirées flashcocotte (plutôt gay et gay friendly) et les soirées bathroom jalousie sont des soirées vraiment sympas avec une bonne programmation musicale pour qui aime l’électro…
L’entrée n’est pas chère, le fumoir extérieur très agréable car on peut tchatcher tranquillou et s’aérer la tête. les consos sont à des prix raisonnables.
Attention toutefois à bien sélectionner sa soirée car des fois j’ai pu tomber sur des salles quasiment vides… (mais c’est rare)
Seul gros point noir: le vestiaire, quand il y a du monde c’est infernal !! ils sont à deux à l’heure et très mal organisés. A un tel point que cela peut franchement vous gâcher votre début de soirée car cela retentit sur la queue à l’éxtérieur qui s’allonge exagérement alors que la boîte n’est pas du tout pleine… bref il peut arriver de faire la queue 1h… et là bah c’est trop dur pour se relancer dérrière…

Une boîte qui a su rester authentique au fil des années, avec une programmation éclectique, un staff passionné et une clientèle cosmopolite assez cool.
Une préférence pour les soirées house et funk (les soirées Mona sont excellentes, les soirées avec Nick V aussi…)
En bref, si vous êtes dans les parages, allez jeter un oeil, vous né le regretterez pas.

3.5 out of 5
I went here last night for the first time and had a ball! The space is very open, with one long room stretching straight back to the little stage. So as you descend the stairs and walk towards the back you move deeper and deeper in a steadily thickening crowd of dancers, which is pretty cool. Just a great place to drink pitchers of beer and dance with your friends. The unisex bathroom is a little dodgy but I’m sure it has encouraged interesting interactions at times.

J’ai connu La Java au moment où le mouvement «Salsa» a commencé à se développer à Paris, et ce que j’ai tout de suite apprécié dans cette salle, c’était le côté «intime» que me procuraient les concerts d’artistes cubains, et animations Salsa diverses auxquels j’assistais, si mes souvenirs sont bons, tous les jeudis soirs.
J’avais l’impression que les artistes qui venaient se produire chantaient uniquement pour mes amis et moi, vu que la salle n’était pas très grande, et c’est toujours la même impression que j’ai à chaque fois que j’y retourne, maintenant de façon occasionnelle, pour d’autres concerts.
Le programmation musicale a bien changé depuis (plus eclectique), mais l’endroit n’a pas changé.
Aussi, je vous conseille cet endroit si et seulement si comme moi, vous aimez les concerts en toute intimité !

Pas d’aération: son plus gros défaut
Le gros soucis de la Java, c’est qu’été comme hiver, on y crève de chaud. Aucune aération, et toujours blindée, on transpire littéralement de chaleur à chaque fois (j’ai même une fois totalement baignée dans la sueur, au sens littéral du terme). Dommage, car sinon la boîte est sympa, même si la programmation n’est pas toujours au top.

Qu’on se le dise haut et fort: La Java né vaut pas seulement pour son bâtiment. Et pourtant, rien que le bâtiment vaudrait le détour, l’analyse, la visite guidée. On pénètre cette galerie ouverte sur la rue du Faubourg du temple et on lève les yeux. Surplombée de coursives blanches, la courette se traverse et ce qui nous intéresse est au fond. On jette un dernier œil derrière soi avant de descendre sous terre et on entreprend l’escalier en forme de fer à cheval. On peut se rappeler en descendant que depuis 1923, de sacrées références sont passées par là, c’est ce que j’appelle mettre les choses en perspective.
Après, hormis l’équipe d’accueil qui est relaxe et avenante, il est plutôt question de programmation, puisque la salle en elle-​même n’est pas extraordinaire. Plutôt tournée vers la scèné française rock émergente ou en voie de confirmation, quelques rendez-​vous ponctuels sont à suivre (telles les soirées bienfaisance). Dans un autre registre, la Java se fait également club, de minuit à l’aube. On est alors jamais sorti fumer cigarette si agréable, sous les coursives.

Magnifique !
Je suis allée à la Java deux fois, dans des circonstances complètement différentes. La première, c’était pour un concert acoustique de Mathieu Boogaerts. Belle atmosphère, public assis par terre, on sirote une bière, trop bien.
La seconde, c’était pour une soirée électro «Flash Cocotte». Alors là, la meilleure soirée en club que j’ai passé depuis mon arrivée à Paris l’année dernière. Super ambiance, conso pas cher du tout, un public sympa, beaucoup de fantaisie et de bonne humeur. Une chose à préciser, ce sont des soirées «hetero friendly «, haha. bref, j’ai adoré. Génial.

La Java je n’y vais que pour des soirées triées sur le volet. Bien que le plafond soit assez bas et le son pas toujours très clair, c’est un endroit à voir! une salle historique où l’on croise bien des énergumènes et où les consommations sont parmi les moins chères de Paris. Quand la salle est comble cela peut vite devenir un calvaire. On fait la queue à la porte (et la sécu n’est pas des plus agréables), on fait la queue au vestiaire, et rebelote pour boire un verre.

La java est une salle sans vraiment d’identité musicale, un jour vous danserez sur de la world music un autre soir sur de la House music, encore un autre sur de la musique latine ou même hip hop.
En tout cas une chose est sur vous y danserez !
Cette salle est l une des plus ancienne de Paris voire la plus ancienne, donc né vous attendez pas a une décoration signée par Starck, le coté kitsch du lieu est plutôt appréciable avec ses céramiques au sol authentique, ses peintures au mur le lieu n’a pas du beaucoup changer depuis ses débuts en 1920.
On sent tout de suite qu’il y a eu du vécu et cela fait plaisir.
Les fois ou je m’y suis rendu, c’était pour les soirées Mona a tendance plutôt house et plutôt gay, ou effectivement tout le monde danse.
C’est un bon lieu pour y faire… la Java !

La Java existe depuis 1923 ! C’est le club nocturne le plus ancien de Paris, où ont débuté Edith Piaf et Django Reinhard. Et c’est ce charme de vieux Paris devenu rare, que l’on hume à chaque soirée! Populaire, décalé, frais, ouvert, la Java est devenu le lieu où aller naturellement un week-​end. Située au fond d’une galerie classée monument historique, au milieu des cyberphones et des épiceries exotiques de Belleville, le club accueille tous les styles de musiques, de gens et de styles. De la résidence des Flash Cocotte la soirée queer où la queue inonde le trottoir dès 23h30 aux concerts d’étoiles montantes de la chanson pop, soirées tziganes ou nouvel an sénégalais, bal latino caliente ou electro underground berlinoise.
J’en suis devenue une habituée, d’ailleurs où trouver une pinte à 3 euros à Paris aujourd’hui ??

Soirée gay au Java !
Je suis allé au Java lors d’une soirée rock-​electro en espérant y trouver une ambiance branché comme le genre le permet ! et en arrivant dans la queue ma joie n’en fut que décuplée en constatant que la fréquentation était à 80% gay ! trop bonne soirée en perspective, super bonne ambiance, la boîte est super bien foutu, les boissons sont pas trop chère pour une fois (6,50 E la pinte). Je né connaissais pas cet endroit comme gay et bien je vais l’ajouter à ma liste des coins d’éclate !

It’s rather an extensive venue but it feels small because its so narrow and can get so crowded. It took me like 40 minutes to get a drink at the bar which is never a good thing, so I am tempted to give it just 2 stars but I will stick with 3 because the crowd is fun and interesting – on the young, pretty, gay and alternative side. I went for the Flashcocotte party which features alternative electronica music and lots of skinny jeans!

Sans doute une des meilleures adresses pas cher de l’est parisien, si ce n’est de Paris. Ambiance décontractée, musiques du monde, live, pop rock, electro, afrique, latino Des résidences electro ou house assez blindées et d’autres genres musicaux comme la disco, funk, qui y sont présentes aussi. A essayer si vous êtes dans le coin de Belleville. La salle a gardé son âme d’antan (années 30) et propose également un coin fumeur à l’entrée en plus d’un coin bar où l’on peut se reposer du son clubbing.

Club a la limite des quartiers de Buda et de Pest, sur les rives du Danube, la Java est l’endroit phare ou toutes les jeunesses de Budapest viennent finir la semaine !
Attente dans une petite allée de galerie commercante, videur assez brusque, ambiance des Balkans avec le No smoking orchestra (sans Kusturica) qui joue pour petits comité ces airs typique nourris de cuivres. Après l’entrée on est prié de déposer son couteau au vestiaire mais on garde son chapeau! Cheveux longs, moustache bien fournie, rouflaquettes et barbe irregulière, les hommes sont bijoutés comme des femmes. Des fils electriques pendent du plafond humide, pas certain que le rouge soit tjrs avec le rouge. La joie est de rigueur, la chaleur aussi
C’est l’impression que j’ai eu la première fois que je suis allé dans ce club de la rue du Faubourg du Temple (back to real), normal me direz vous, le thème de la soirée était Tsigane !!
Indépendemment de sa programmation (éclectique, le reste de l’année on y organise des soirées electro, retro, latino) la Java est un endroit dingue a Paris, complètement hors du temps. J’adore la disposition de la salle, la multitude des micro miroirs le long des escaliers, la boule a facette qui perd ses facettes et né tourne plusetc. Il paraît qu’Edith Piaf y a fait ses débuts !

On est loin du temps où Edith Piaf le fréquentait! Mais ça reste une boîte eclectique où toutes les musiques sont programées (variété, reaggae, funk,…).
Pour faire la fête sans se prendre la tête c’est parfait! L’entrée est à 5EUR et les consos sont à prix dérisoire (de 3 à 6EUR)