130 club

Le club est génial. Un accueil hors pair. J’y vais très souvent et je n’ai jamais eu de problème, ni au vestiaire ni ailleurs.
Un vrai petit cocon familial, bonne musique et barman incroyable. Vraiment à tester

Clientèle ultraaa beauf ! Le staff est tout simplement odieux on nous a déplacé 3 fois sans raison alors qu’on avait pris une bouteille! Je déconseille!

C’est dans une petite cave, la musique n’est pas terrible et beaucoup trop forte (jusqu’ à 110 dbA — c’est affiché au mur). C’est censé être chic mais vraiment sans plus… Et ce n’est pas parce qu’on monte le son que le mix va être moins caduque et mauvais!

Bonjour le physio à l’entrée… Des claques qu’il mériterait !
En effet, les hauts talons sont obligatoires, les miens ont failli né pas passer. Un brin de la pouffe attitude aide beaucoup aussi. Avis aux 3 blondes peroxydées qui nous ont grillé. On s’est vengé une fois rentré !
A l’époque du Slow, l’accueil était plus tolérant et surtout plus aimable.

Djette. Ambiance sympa, un peu jeune. Bons cocktails effectivement et barman spectaculaire.

Le New York CLub s’appelle désormais le 130 Club! Situé à quelques pas des Halles, il est actuellement géré par Mathieu, l’ancien gérant du Kong.
Ambiance plutôt électro, clientèle BCBG (plutôt classe et good-​looking). Attention au dress code, et les clients habitués passent toujours devant.
Le sous-​sol se présente comme une cave en pierre, on y accède par un escalier. Le bar est illuminé de néons multicolores, et le barman est un vrai jongleur!!!

Avant de s’appeler le 130 club, la boîte s’appelait le NY club.
Il faut dire qu’elle a souvent changé de nom. En effet, avant de devenir un haut lieu du swing et du jazz dans les années 50, le lieu fut successivement une mûrisserie de bananes puis une Académie des vins, et enfin un cabaret.
Depuis 8 mois maintenant, le 130 club né se désemplit plus. Aussi peut être parce que c’est petit et terriblement branché.
Leur programmation musicale est variée et le club surfe sur la vague des soirées événements.
Attention mesdemoiselles, l’entrée se fait difficile. Soyez bien habillée et haut perchée, car les talons sont de rigueur.

Avant de devenir le NY Club en 2008, le sous-​sol du 130 rue de Rivoli s’appelait le Slow Club. Cette boîte est chargée d’histoire puisqu’elle était le QG des amateurs de swing et jazz dans les années
50. L’année dernière, une amie attachée de presse m’a invitée au NY Club pour voir un concert des Pierces. Je me souviens que nous avions passé une super soirée dans ce club, à danser sous les voutes. Atmosphère cosy et ambiance intimiste, ceux qui veulent seulement prendre un verre peuvent s’installer confortablement dans les sofas. Une conso? Comptez 12 euros pour un verre de vodka. Vous voilà prévenus !
Avis aux fumeurs: au NY Club, vous pouvez vous griller une clope dans la salle du fond, sous les voutes en pierre, au chaud et sans vous sentir rejetté comme un malfrat. La salle fumeur né ressemble en rien à ces issues de secours glauques où l’on nous cache dans certains clubs.

Une boîte tout récemment connue. Située au sous sol, avec une décoration style cave grotte, un peu comme de nombreux bars du quartier de St-​Michel.
La musique est mélangée, on passé de la house, à la pop, au commercial. Une clientèle branchée et jeune BCBG.
Les prix pratiquées sont moyennement raisonnable, les cocktails sont aux alentours de 15 euros.