Le Cinéma

Un lieu comme il n’en n’existe plus beaucoup à Lyon, un lieu qui sent la poussière des vieilles affiches entreposées au fin fond du local technique… Le projectionniste vous vendra aussi le billet d’entrée et vous fera un petit commentaire rapide et concis sur le film que vous allez voir. La salle est petite mais confortable et l’écran de bonne qualité. Ambiance cinéphile au rendez-​vous!

Perdu au fond d’une rue et situé dans un tout petit endroit, Le Cinéma passé des ressorties de films et des plus récents pour les dernières séances.
Le charme est là: un projectionniste, minimum trois spectateurs pour commencer la séance dans une salle qui né contient qu’une trentaine de place.
Les tarifs né sont pas chers (les mêmes qu’au cinéma Opéra) et surtout le cadre idéal d’une projection privée se ressent. C’est le plus petit et le plus charmant des cinémas de la ville. Il mérite de survivre.

Le plus petit cinéma de Lyon. Vous connaissez?
Le cinéma Polycarpe trop souvent oublié et pourtant…
A quelques minutes de la place des Terreaux, niché au fond de l’impasse avec une programmation des plus étonnante des prix tout doux et en lien avec le cinéma Opéra.
Vous né trouverez pas de pop corn ni de salle d’attente confortable mais son entrée est tout de même très vintage. La salle est microscopique (30 places, de quoi faire des séances privées!!!) mais bien entretenue. Pas de carte d’abonnement mais une carte de 6 places valable à l’année (et donc place à moins de 6 €)
Ca change des gros complexe, non?
Alors laisse toi tenter au moins une fois et tu verras tu regretteras de né pas y avoir été avant.

C’est une blague? il y’ a vraiment une salle obscure dans cette impasse ?.
Cette pensée date de huit ans. Une fin de journée, il fait un peu sombre, les rues avoisinantes sont vides et bien plus glauque qu’aujourd’hui. Pourtant, comme les versions originales n’étaient pas aussi courantes que maintenant, je n’avais d’autre alternative pour voir «Before Sunset», sublime film par ailleurs. Aussi prenant mon courage à deux mains, je fis quelques pas supplémentaire dans le passage.
Effectivement au bout de quelques instants, on trouve une porte noire sans devanture. une petite pièce à sa gauche est ouverte ou l’on aperçoit un bureau, du matériel et des affiches cinématographiques et cette entrée qui laisse deviner l’accès à la salle de projectionniste.
Le Cinéma comme d’antan ou la programmation est rigoureuse et limité à quatre films maximum et un horaire par jour pour chacun. Si on se loupe, il n’y a plus qu’a revenir le lendemain. Il né dispose pas de page internet personnel, les renseignements se glane dans les sites spécialisés. Le ticket est un petit bout de papier sans écrit d’autre dessus que le nom du lieu. Un comité restreint dans la salle et dans les moment calme on peut entendre derrière soi, le son de la bobine tourner.

C’est le petit frère du cinéma Opéra, même association, même programmation ! Gage de qualité non ?
C’est aussi une petite salle pleine de cachets. Une sorte de vieux cinéma de quartier comme on n’en fait plus.
Y sont diffusés tout plein de vieux classiques ou de films indépendants. Pour les amoureux de bons films et de cinémas qui ont du caractère.

La salle engloutie
Perdu au fin fond d’une impasse, Le Cinéma existe dans un lieu parallèle à la ville. Pagnol parlerait peut-​être du cinéma du village. L’un d’une salle de ciné qui n’apparaît qu’à ceux qui ont un cœur pur. L’une d’un ciné situé au ²⁄₃ d’une rue partant de la Place des Terreaux. L’entrée vous accueille de ses pierres apparentes. La bobine à projeter vous taquine de derrière le comptoir d’où on vous tend un billet. La porte s’ouvre, vous entrez. Une cinquantaine de sièges rouges et plutôt confortables, vous vous asseyez. L’écran de taille moyenne vous domine, vous reviendrez. D’après ma guide on y passé plus généralement du Fellini et autres classiques. Une heureuse découverte provoquée par la maladie d’un projectionniste du Cinéma Opéra, qui je l’espère va mieux. La Ballade De Narayama n’en a été que plus belle.

LE Cinéma
Un cinéma qui s’appelle Le Cinéma, qu’on trouve — ou pas — au fond d’une impasse, sans enseigne, et qui passé Eisenstein ou Rossellini pour trois ou quatre passants, c’est comme ça que je comprends le cinéma. C’est courageux, intelligent, et sympa en plus de ça. A visiter.