L’Amphitheâtre-Salle 3000

Salle testée pour le concert de (la mort qui tue de) Foals.
Nous avons été impressionnés par la bonne acoustique de l’endroit ainsi que par son architecture futuriste (à l’extérieur).
Le personnel est très accueillant, l’endroit plutôt propre (à l’exception des fauteuils tachés).
Nous étions dans les gradins, confortablement installés et suffisamment proches de la scèné pour pouvoir tout admirer facilement. La fosse n’est pas très grande et il me semblait que certains étaient une peu coincés contre les premières rangées de fauteuils (en gros nous étions beaucoup mieux sur nos fauteuils un peu en hauteur).

L’amphithéâtre sur le papier ça semble être une belle idée: une grande salle plutôt récente d’une capacité de 3000 places agencées de manière à ce que tout le monde puisse profiter de la scèné confortablement. D’extérieur c’est très réussi je trouve, on dirait qu’une soucoupe volante à décider d’atterrir en pleine cité internationale. Mais au niveau des bonnes idées cela s’arrête là.
La salle est grande, tellement grande que si, comme moi, vous privilégiez la quantité et non pas la qualité dans le budget spectacle vous vous retrouverez dans la stratosphère de la salle. Personne myope s’abstenir…
Ensuite, bien que je né sois pas une grande spécialiste en la matière, j’ai trouvé que le son n’était vraiment pas terrible. Je me suis rendue pour la dernière fois à l’amphithéâtre pour aller voir le Lac des cygnes. Le son semblait venir de loin et désaxé par rapport au public. Je suis limite plus touchée lorsque la musique de ce ballet sort de l’enceinte de mon portable que le soir de la représentation.
Enfin l’accès en transport en commun est pour moi insuffisant. Certes j’ai un peu tendance à dire cela de tous les endroits qui né sont pas au pied d’un métro mais pour le cas ici c’est vrai. La plupart des gens renoncent visiblement a prendre le bus, le parking de la salle se retrouve donc envahie d’une horde de voitures. Cela me gèné pour 2 raisons.
Premièrement parce que le parking est payant et que l’on est contraint d’y aller étant donné qu’il n’y a pas de places pour stationner sur les quais de la cité internationale. Je me sens presque rackettée.
Deuxièmement, une fois votre spectacle fini, qu’il est bien tard et que vous n’avez qu’une hâte rentrer, vous devez vous taper une interminable attente pour que le flux de voiture sorte. La dernière fois j’ai passé presque 45 min, pare-​choc contre pare-​choc à respirer les pots d’échappement des voitures de devant…
Dans l’ensemble cela reste correcte mais je né peux m’empêchée d’être déçue.

On attendait cela depuis un an «L’exoconférence» d’Alexandre Astier. La salle est situé juste à côté du parc de la Tête d’Or, du coup c’était déjà très agréable de s’y rendre.
Le bâtiment est assez impersonnel, plutôt froid, de grandes salles, de grands escaliers, il y a du personnel un peu partout. Lorsqu’on franchit la porte on découvre cette salle immense, avec des sièges partout. Heureusement que des personnes nous indique nos places, on né les retrouverait pas facilement.
Le premier défaut, c’est l’agencement, idéale pour une conférence très peu pour des spectacles. Avec les allées qui traversent les sièges on est d’autant plus loin de la scèné.
Résultat on voit l’ensemble du spectacle mais aucun détails (oui on était assez haut). Donc pour un spectacle de ce genre où les gestes et les mimiques comptent autant que les autres ce n’était vraiment pas idéale.
Du coup, je vais essayer d’éviter cette salle autant que faire ce peut.

Lors du Presbytère chorégraphié par Maurice Béjart et repris par la troupe Ballet Béjart, j’ai découvert l’amphithéatre salle 3000 de la cité internationale.
Tout d’abord on dit: WOW ! P*tain ! C’est immense !
Ensuite on constate que les fauteuils sont confortables, propres, que peu importe où l’on se trouve, on a quasi tout le temps une vue dégagée sur la scèné, l’acoustique est géniale.
Puis, on se rend compte que cet amphithéatre est fait pour les «petits», j’entends par là des personnes ayant une taille inférieure à un mètre 65.
Oui, vous les grands … Passer deux heures avec les genoux collés au siège de devant sans pouvoir bouger et bah c’est horrible !
Alors oui Béjart c’était génial, mais ça aurait été top de le savourer jusqu’au bout !!!

je suis allée pour la première fois hier à l’amphithéâtre «salle 3000» à lyon, pour voir le spectacle operamania.
d’un premier abord, la salle m’a paru très agréable et facile à appréhender. j’ai rejoins ma place tout en haut, à l’avant dernier rang. les personnes âgées devant moi montraient une certaine peine à monter toutes ses marches. (n’y a t’il pas un ascenseur qui dessert le dernier balcon et qui pourrait soulager les douleurs de nos plus anciens??)
une fois les lumières éteintes et les premières notes de musique, je me suis cru sur une piste d’aéroport (merci les lumières de nez de marche!).
mais ce n’est rien à côté de la gêné occasionnée par le régisseur du spectacle situé dans sa cabine et qui éclairait régulièrement une partie de public avec sa lampe frontale. très très gênant pour rester concentré sur un spectacle! nous sommes plusieurs à nous être retournés en sa direction, sans succès…
enfin, si la salle a été conçu pour les conférences, et fonctionne probablement très bien dans cette configuration, ni l’acoustique ni le confort des sièges et des spectateurs né viennent soutenir l’utilisation de cette salle pour des spectacles de musique classique.

L’Amphitéâtre est sans doute une très belle salle de spectacles, par ex. pour de la musique classique. Malheureusement, elle est aussi utilisée pour des concerts de rock, et là, même si les sièges sont confortables, ils gênent plus qu’autre chose (remarque identique pour d’autres salles, la Bourse du travail, par ex.).
Attention: sur les gradins du haut, on est très loin de la scèné !
Autre défaut: il est pratiquement impossible de se garer ailleurs que dans les parkings payants (à ajouter au budget de la soirée), et de plus, à la fin du spectacle, tout le monde sort en même temps, et il faut prendre son mal en patience pour pouvoir en sortir…

Voilà la deuxième soirée que je passé dans cet amphithéâtre. La première fois, j’avais eu la chance de voir Ken Loach recevoir le Prix Lumière 2012. J’ai passé moins de la moitié de la soirée sur mon fauteuil, trop occupée à remplir ma carte mémoiré de précieux souvenirs.
Pour cette deuxième soirée, j’ai vu Alexandre Astier pour l’avant-dernière représentation de «Que ma joie demeure !» — excellente pièce, en passant.
La salle est grande, belle, et assez bien agencée. Des places sont réservées pour les personnes à mobilité réduite, un plus important ! En revanche, les fauteuils… Au début on se dit que ça ira, ce n’est que 2 h à tenir après tout. Au bout d’une demi heure déjà, on a envie de bouger, d’installer son vieux canapé ou un fauteuil de voiture: Deux options qui seraient bien moins esthétiques mais bien plus confortables ! Et l’espace pour les jambes est un peu faible, impossible de tendre un peu les genoux sous peine de donner un coup de pied au voisin du dessous !
C’est ce manqué de confort et les douleurs dans les jambes à la fin de la soirée qui font perdre à cette salle une précieuse étoile.

Il est presque certain que sans les cérémonies de remise de prix lumière, je n’aurai pas eu le plaisir de découvrir la majestueuse salle 3000. Je m’y suis rendu à deux reprises et à quatre ans d’intervalle.
Bien desservi par les réseaux de bus lyonnais, qui relient presque toutes les stations de métro sur leurs trajets elle se situe dans la cité internationale, là où l’on trouve notamment le complexe de cinéma «Ugc Ciné Cité». Un peu plus loin, juste derrière, on a aussi la salle de concert «Le Transbordeur».
Vu de l’extérieur et de dos, certains diront qu’elle ressemble à une coque de bateau. Pour moi je visualise plutôt une énorme soucoupe volante. Ma folie cinématographique n’est surement pas innocente à cette impression ^^. De l’autre coté, là ou se fait l’entrée du public, c’est une immense halle vitré.
A l’intérieur, pour avoir d’abord essayé les gradins, les places garantissent une bonne visibilité de la scèné, même constat qualitatif au niveau du son et on est vraiment à l’aise dans ces sièges. On peut même étendre ses jambes et ça c’est vraiment pratique.
Quand au parterre, alors là c’est la cerise sur le gâteau. Dans les conditions de mes venues, avoir eu la chance d’être aussi près pour voir défiler et écouter des personnalités du cinéma que j’apprécie grandement, fut tout simplement fabuleux.

salle tres recente et tres grande mais ss ame ! peut etre du a sa jeunesse on va dinc la laisser vieillir 1 peu ! sinon tres belle

Très belle (et récente) salle certes mais je né suis pas convaincu de son utilisation pour les concerts.
J’ai trouvé que cette salle manqué d’âme, certains styles de musique se prêtent peut être bien à ce côté froid mais pour le rock’n roll (concert de Chuck Berry il y a qq années déjà) vous pouvez l’oublier, cette salle n’est vraiment pas adaptée !

Incroyablement impressionnant ! magnifique !

Eh um centro de convenções moderno e completo. Porém fica longe do centro cultural de Lyon. Longe para os padrões de distancia da cidade. Com 14 euros vc pode pegar um taxi para o centro.

immense! pas toujours pleine mais du cacher

Une vraie réussite cette salle 3000: moderne, confortable (oui aux fauteuils généreux et aux rangées suffisamment espacées pour permettre aux grandes jambes de prendre leurs aises), bien pensée sur le plan de l’implantation: la scèné est bien visible de l’ensemble des places et le son est excellent. Une salle à privilégier à mon avis pour les spectacles «assis» pour profiter du confort et de la qualité des installations.
Un avantage également: la présence de parkings souterrains de la Cité Internationale pour se garer sans galérer ou la desserte en bus.

L ‘architecture des salles de spectacle sur Lyon sont pas terribles à par une oui la salle 3000 (l ‘auditorium de Lyon est bel et bien du siècle passé) sans défauts vous vous prendrez le temps d ‘une soirée pour E. T
CDT E. L

Un ami à moi metteur en scèné à un projet avec la salle 3000. Un spectacle basé sur les arts numériques avec des info-​décors, enfin j’ai pas tout compris. Bref, tout ça pour dire qu’il m’a dit qu’il allait visiter la Salle 3000 pour ce projet et je lui ai tout de suite demandé si je pouvais venir avec lui.
Je n’y étais jamais allé. Et bien c’est super comme lieu. Déjà de l’extérieur je trouve que c’est extra. L’architecture n’est pas banale, on dirait une sorte d’immense soucoupe volante qui se serait posé sur terre. Et l’intérieur est tout aussi bien. C’est vraiment très très grand. Et c’est beau, tous ces sièges rouge, c’est classe.
Par contre j’ai regardé la programmation, il y a vraiment de tout ! Ça va du Lac des Cygnes au spectacle de Casimir en passant par la nuit du Zapping et Dorothée ! Vraiment de tout !

Lyon n’avait apparemment pas assez de salle énorme pour accueillir les congrès internationaux. Alors il y a deux ans environ a poussé un drôle de champignon près du parc de la tête d’or. Les joggeurs fous se sont alors demandé ce qui pouvait bien se tramer là avant de voir éclore finalement une salle tip top: modulable, énorme et pouvant s’adapter à (paraît il) n’importe quelle manifestation d’envergure internationale. Entre ses résidences hôtelières et les concerts qu’elle accueille, cette salle s’est vite fait un nom à Lyon… quoique étrangement on l’appelle aussi «Amphithéâtre 3000»: drôle d’idée que de né pas savoir comment nommer ce… truc… mais bon.
C’est ainsi que des grands concerts y ont lieu: généralement quand la Halle Tony Garnier est ou déjà prise, ou que la configuration doit être optimum comme pour un opéra qu’on apprécie quand même mieux bien assis avec une vue plongeante que par terre sur du béton, un grand devant soi.
Sa configuration donne à la salle un aspect plus respectable, prout prout dirons certains, n’empêche qu’elle est très belle, que le son y est génial, et qu’on y est bien assis, ce qui n’est pas toujours le cas des salles de spectacles lyonnaises.
Reste la prouesse architecturale qui a été réalisée par Renzo Piano: on aime ou on n’aime pas, mais en tout cas, il y a de quoi discuter, tellement l’oeuvre est intéressante. Alors pourquoi né pas venir aussi pour ça, entre deux piques niques au parc de la Tête d’or ?!