Boco

J’ai eu l’occasion de tester Boco lors d’une soirée «Meet the CM».
J’avais déjà entendu parler du concept mais sans m’y être trop intéressé.
Je né vais pas parler de tous les details sur les lieux comme l’ont fait les precedents Unilocaleurs ci-​dessous donc je me contenterai de partager mon avis perso sur les lieux.
J’ai trouvé ça bon, même très bon. Mais je pense que les attentes sont peut-​être trop élevées par rapport à ce qu’on a dans son assiette.
Les plats sont bons mais un peu lourd, le raffinement des restos étoilés est loin pour être tout à fait honnête.
Mais j’ai beaucoup aimé la déco et l’atmosphère des lieux. Une jolie alternative au fast food et aux Exki de ce monde.

Depuis la rue, «Boco» ressemble à s’y méprendre à un Exki haut-​de-​gamme. Des frigos, une grande table centrale avec une sélection de quiches et un vaste choix de boissons chaudes…
Pourtant, il n’en est rien! «Boco», c’est tout un concept qui nous vient de Paris. Des recettes de grands chefs mises en bocaux!
Le choix de bocaux est très varié et évolue avec les saisons… Une formule intéressante propose de s’offrir un menu complet (entrée-​plat-​dessert) pour 15 € 50, ce qui reste très abordable surtout lorsque l’on goûte à la fraîcheur des ingrédients. Fraîcheur? Oui oui! Disposés dans ces bocaux hermétiquement fermés, l’aliment conserve toute sa saveur. Ces bocaux peuvent se déguster chaud ou froid selon l’indication fournie.
Pour ma première, à l’occasion de la soirée «Meet the CM at Boco», je me suis laissé tenter en entrée par l’œuf poché sur purée de courge et petits lardons. Ce «boco» se dégustait froid et c’est peut-​être cela qui m’a…refroidi. Non, je n’ai pas aimé cette première bouchée: la purée était compacte et insipide et rendait un contraste trop fort avec les petits lardons extrêmement salés. Heureusement que la suite m’a réconforté avec la première impression que j’ai eue en poussant la porte de «Boco»!
Mon plat (chaud) se composait de roulades de chicon à la béchamel. Un délice! La crème béchamel était douce et somptueuse à souhaite et se mariait parfaitement avec le jambon tendre qui entourait les chicons. Tout ceci m’a presque fait oublier l’amertume du légume.
Pour le dessert, mon choix s’est porté sur une crème chocolatée sur fond de mousse de mangue. Un mariage subtil entre un chocolat noir amer et une mangue sucrée: j’aime!
«Boco» a donc tout pour plaire et attirer la clientèle: un concept neuf en Belgique, un retour en enfance (oui, je me suis senti comme un bébé en mangeant dans ces petits bocaux en verre), un intérieur chaud et accueillant et un personnel qui l’est tout autant!
«Boco», je suis tombé dans le bocal et je né veux plus en sortir!

Je passais devant tous les matins, en allant travailler.
J ai donc depuis près d un an effectué des recherches pour découvrir le concept avant l ouverture.
Depuis octobre, l endroit est ouvert: 7j/​7, de 7:30 à 20:00!
De quoi nous laisser le temps pour le petit dej’ en solo, lunch entre collègues ou souper en amoureux, Sur place ou à emporter, les bocaux sont tellement appétissants que le choix est un véritable supplice!
Et puis: si vous emportez, vous repartez avec les bocaux en verre qui peuvent être réutilisés à l infini à la maison
Ce jour là j ai dégusté :
— Œuf meurette revisité /​/​Jean-​Michel Lorain
— Potée franc comtoise à la saucisse de Montbéliard /​/​Vincent Ferniot
— Pommes rôties et choux caramel au beurre salé /​/​Philippe Urraca

Il n’est vraiment pas simple de donner un avis sur le premier établissement Boco en Belgique. Parce qu’entre l’image que le lieu veut donner de lui-​même, ce que le lieu est réellement, ce qu’on a dans l’assiette et ce qu’on paye, on est facilement tenté de comparer Boco à ce qu’il n’est pas.
Boco n’est ainsi pas un restaurant. Que ce soit par le niveau de service (self), par l’ambiance et la décoration de la salle, ou par le type de nourriture qui y est servie (des plats préparés), Boco est et reste un fast-​food, avec une approche de chaîné. Il se rapproche plus d’un Exki qui aurait rencontré un Nicolas.
Une fois cela clair, c’est déjà plus simple de se faire un avis. Qui n’est pas mauvais, mais pas non plus extatique. A priori, avec un rapport qualité/​prix plutôt bon (entrée/​plat pour 12 euros), Boco est un choix de lunch tout à fait raisonnable. Le problème, c’est qu’il né pourra pas être beaucoup plus que ça. Au final, la qualité des plats est (très) loin de se rapprocher de ce qu’on peut espérer de la cuisine d’un étoilé, mais pire, en-​deça de ce qu’on peut avoir en plat de jour dans une brasserie traditionnelle. Ce n’est pas mauvais, non, mais c’est très peu raffiné, et forcément moins frais et agréable à manger que lorsqu’on te sert dans une assiette cuisinée sur le moment.
Bref, Boco est une bonne alternative à un Exki ou un Pain Quotidien, mais ni réellement mieux, ni moins bien, que d’autres chaînés. Et en tout cas assez loin de ce qui semble être promis…

J’ai découvert BOCO, lors de mon premier événement Unilocal.Étant assez sceptique et ayant eu quelques échos négatifs aux sujets de l’établissement, décrit par beaucoup comme «un Exki gastronomique et cher «, j’étais ravie de me faire ma propre opinion sur cet établissement.
BOCO fut pour moi une très belle surprise ! Il faut savoir que l’enseigne à été crée, un peu dans l’optique d’un «fast-​food du bien mangé «. Les recettes ont étés conçues par de grand chefs et pâtissiers Français et Belge pour l’occasion. Choisissant ainsi le bocal de verre, comme contenant phare pour ses qualités de conservation, pour faire découvrir dans les meilleures conditions possibles leurs différents mets et respecter les arômes ayant été pensé et imaginé par leur créateurs.
L’établissement à été pensé et organisé dans un style adapté à la culture Belge et Bruxelloise. Doté d’un mobilisé coloré et cosy. C’est la seule enseigne BOCO à posséder des petits fauteuils individuels très confortable et des tables basses. L’ambiance est intimiste avec son éclairage chauds et tamisés. Le personnel quant à lui est serviable et très à l’écoute de vos envies gustatives.
L’étal est bien agencée et une signalétique est faite pour distinguer les entrées, des plats. Une indication précise si le bocal se déguste chaud ou froid. Un petit blé barré précise également lorsqu’un bocal né contient pas de gluten. Des étiquettes sur les bocaux indiquent également la liste des ingrédients présents. Les bocaux varient également en fonctions des saisons, donc ceux découvert durant l’hiver né sont pas forcement les mêmes que ceux proposés durant l’été.
Le restaurant, propose en plus des ses bocaux, une soupe du jour, du pain, des quiches salés de chez Wittamer (ainsi que des desserts), des sandwich dont le pain vient d’Yves Guns, des desserts et quelques en-​cas hors du commun (pop corn au fromage, chips de légumes, etc). Ils proposent égalent une grande variété de boissons et quelques jus frais délicieux.
Si vous mangez sur place, vous recevrez un biper pour les bocaux devant être réchauffé. Heureusement ou malheureusement, les plats sont réchauffés assez rapidement ce qui peut être problématique lorsque vous commencez à peine l’entrée comme ce fut mon cas.
Je pensais que les portions seraient chiches et pas très copieuses mais c’est tout-​à-​fait le contraire. J’avais choisi en entrée un œuf moelleux et sa mousse de courge au lard. Qui était bon, mais qui aurait mérité une version chaude plutôt que froide, pour sublimer ce bocal davantage. En plat j’avais choisi un parmentier de bœuf braisé qui était également très bon. Néanmoins, ce qui fut pour moi une véritable découverte gustative restera sans conteste un morceau de galette des rois signé Yves Guns qui était divine. Fraîche, fondante et crémeuse avec ce bon goût d’amande. J’ai également goûté une verrine au chocolat noir qui était excellente.
Je recommande chaleureusement cet endroit à ceux qui auraient envie de manger sainement des plats délicieux et changeant un peu du quotidien ou des restaurants classiques. Les prix sont relativement abordable pour les quantités et la qualité proposée. De quoi se régaler sur place ou à emporter.

«Boco», c’est le nouveau concept de fast-​food sain de la capitale. (Concept pas si nouveau que ça en fait, car déjà existant à Paris.) L’idée: des chefs gastronomiques triés sur le volet qui imaginent des recettes pour chaque saisons et qui sont vendues dans des bocaux Weck (en verre). Ainsi, il n’y a plus qu’à réchauffer (ou pas), et le tout se mange sur place ou emporter.
Dans les faits, le «Boco» du quartier Louise/​Legrand est assez spacieux, et surtout, est ouvert durant une large plage horaire à savoir de 7h30 à 20h (ce qui permet donc, de venir pour y prendre son petit déjeuner, pour une pause café durant la journée, y manger pour le soir ou encore pour faire sa pause lunch.)
La décoration n’est pas du meilleur goût mais, les assises choisies et l’espace sont agréables. Quant à ce qu’il y a de proposer à manger (l’essentiel donc): le choix de plats est exhaustif et assez varié. Intéressant pour les gens intolérants au gluten par exemple mais, peut intéressant pour les végétariens car la proposition est faible (voire très faible) proportionnellement à la quantité de plats. Dommage donc.
Les bocaux semblent avoir des quantités réduites, mais sont assez copieux en fait. Au point qu’une entrée, un plat et un dessert soient beaucoup trop.
Personnellement, j’ai pu y manger: un «Totale courgette, royale à l’anis vert et aneth» en entrée et des «Orecchiettes au gorgonzola et zestes de combawa» comme plat. C’était très bon même si je n’ai pu en venir à bout. J’ai donc fait l’impasse sur le dessert pour cette fois-​là. À voir une prochaine fois donc…

J’ai découvert cet établissement lors d’un évent Unilocal qui avait pour but de découvrir notre nouveau CM tout en dégustant de bons petits plats ! Boco est une chaîné de repas, préparé par des chefs étoilés, à déguster dans des bocaux, sur place ou à emporter.
Les bocaux proposés en entrée donnant tous envie, le choix fut difficile. J’ai finalement choisi un bocal, préparé par Vincent Ferniot, de courgette à l’anis vert et aneth. C’était très bon et rafraîchissant. Ensuite des coquillettes préparées avec des cèpes et du fromage de montagne, délicieux aussi, j’étais contente de mon choix !
Pour le dessert, mon envie s’est portée sur un dessert de Philippe Urraca, composé de pommes rôties et d’un chou au caramel beurre salé. Une tuerie !
Bref, un chouette endroit que je comparerai un peu à un EXKI, mais de plus grande qualité d’où un prix un peu plus élevé ! Le cadre est sympa, vous pouvez manger votre lunch sur un fauteuil ou à table. La presse et le WiFi sont disponibles gratuitement.
Le seul point négatif, ça serait le service un peu trop «rapide «, je n’avais même pas ouvert mon bocal d’entrée qu’on me bipait déjà pour venir chercher mon plat chaud au comptoir. J’ai donc mangé mon plat un peu froid…

BOCO ES LOCO. Et oui c’était une initiative un peu folle de mettre des grands plats de chef dans des petits bocaux. Nous avons pu tester entre Unilocaleurs cette nouvelle initiative fast food et pour moi le résultat n’est pas mal du tout. Déjà l’accueil est incroyable, l’équipe au petit soin et le cadre plus que chaleureux. On se croirait dans un salon d’hôtel de luxe britannique.
Un bon gros trois étoiles, presque 4…
Je né peux pas vous dire que je suis fan car je n’ai jamais été fan de ces fast food à l’image de la chaîné belge qui nous permet de manger sain mais sur le pouce et avec un bon café. Mais… Je tiens quand même à souligner que grâce à Boco nous pouvons dire adieu au sempiternelles associations: lentille, feta, courgette cru, saumon ou encore tandoori crudités et bagels saumon que l’on trouve dans ces nouveaux fast food tendances. Une fois pour toute nous pouvons déguster des plats un peu plus «grand-​mère» et cuisine française traditionnelle, sans doute grâce au simple choix d’appliquer les recettes de grands chefs.
J’y ai déguster des petites coquillettes toutes douces et crémeuses sur un lit de cèpes bien mijotés et bien assaisonnés, un bon de 20 ans en arrière lorsque la mamie sortait le grand jeu un dimanche soir. Mon dessert de mousse au chocolat avait la fermeté et l’amertume parfaite. Mon entrée: un plus pour l’oeuf poché, qui reste une denrée rare dans les fast food, une très bonne purée de courge mais petit bémol pour l’assaisonnement inexistant et les quelques lardons desséchés.
Cela dit j’ai pu goûter quelques autres bocaux à la purée de céléri onctueuse et le confit d’oignons délicat.J’apprécie vraiment le fait de pouvoir trouver du confit de canard ou de la daube provençale dans une formule rapide qui plus est avec un menu à 15 euros: entrée, plat, dessert.
Cela reste une très chouette initiative surtout avec la possibilité d’accorder le menu à des bonnes bières comme la Omer ou des bons vins.

En mission test lors d’un événement Unilocal,on a découvert le nouveau Exki gastronomique. Après une présentation du concept par le manager et un acceuil chaleureux par le nouveau CM de Unilocal,on s’est vu offrir un délicieux jus de fruits pressés, pour ma part, une très belle entrée en matière.
Toujours en apéro, le petit bout de quiche de chez Wittamer qui nous est offert est un délice.
Assis dans des petits sièges de salon design autour d’une table basse, on prend le temps de rencontrer les autres Unilocaleurs Bruxellois et discuter bouffe!
Ensuite, on a du faire le choix de notre menu, le rayon frais est alléchant, des recettes originales mais aussi des grands classiques de la cuisine de grand mère revisités. Pour ma part, mon choix s’est arrêté sur un oeuf poché au confit d’oignons en entrée et pour le plat, un confis de canard avec de la purée de céleri franchement rien de transcendant, même plutôt décevant pour ce qui est du plat bien que de ce côté là, c’est peut être aussi un mauvais choix de ma part.
Petit bémol, le service est un peu trop rapide concernant le plat à réchauffer. Si on part vraiment sur une entrée et un plat, laisser un peu plus de temps au client pour manger son entrée tranquillement avant de le bipper pour qu’il vienne chercher son plat chaud svp!
Pour conclure, je dirais à réessayer en faisant un meilleur choix la prochaine fois.

Première rencontre avec notre nouveau CM, et première sortie Unilocal pour ma part. Je m’attendais à un rite initiatique en règle, avec passage de Julien par «la traversée du pénitent», mais vu sa haute taille, nous n’avons malheureusement pas pu le faire passer entre nos jambes pendant qu’on lui tapait sur les fesses avec des planches en bois. Introduction en règle par le manager de l’endroit, puis dégustation du menu (avec quelques apéritifs très réussis).
Le concept, tout le monde l’a déjà décrit. C’est original et ça marche plutôt bien pour changer des habituels restos. On hésite un moment devant le choix disponible, puis on patiente seulement quelques minutes avant de recevoir les plats chauffés. Simple, efficace, c’est bon sans nous faire tomber à la renverse mais nous sommes dans un «fast-​food pimpé», pas dans un gastronomique étoilé.
Verdict: j’ai bien mangé, et j’ai passé une très bonne soirée. APPROVED

L’idée d’un plat d’un grand chef dans un petit bocal, à manger sur place ou à emporter,
l’idée à l’air cool … et remporte un certain succès en France.
J’ai testé en formule à emporter: Boeuf braisé en Parmentier, totale courgette et un dessert pommes rôties.
Le boeuf braisé n’est pas mauvais, mais c’est pas le waaaw qu’on pourrais attendre ‚
vu que c’est une recette d’un chef. Et le ratio boeuf/​Parmentier est pas ideal
Ca fait cher 10 EUR ou presque pour bcp de pdt et un peu de viande.
j’ai pas aimé la royale anis vert mais ca c’est personnel.
Et le dessert chou vanille et pommes rôties, comme le plat, c’est pas mauvais, mais c’est pas waaw.
Résultat: 20 EUR les trois petits pots, et un effet bof bof
Aussi, le boeuf est proposé dans un pot Weck avec couvercle en verre et languette orange.
On pourrais racheter les clips et utiliser le pot.
Pour les deux autres, c’est juste un couvercle en plastique.
Donc on en fait quoi après? pas de caution, ils reprennent pas les pots
(pas comme chez ‘les Filles’ ou ils reprennent les pots, avec remboursement.)
voila j’ai testé .
je conseillerais? non
je retournerais? non crois pas

Il y a des concepts sympas et puis il y a des concepts super sympas ! Celui de Boco fait partie de cette seconde catégorie, pour le plus grand bonheur de nos papilles ! Boco, késako? Non, ce n’est pas juste un nouvel endroit à la mode où aller luncher (mais aussi petit déjeuner et goûter, voire même early dîner car les plages-​horaires sont plutôt étendues, même une partie du dimanche), c’est avant tout une nouvelle façon de penser la cuisine moderne, la cuisine active de ce siècle qui nous rend parfois un peu (beaucoup) débordés !
Pas le temps de faire à manger mais pas envie de te taper une pizza, un Quick ou un paquet de chips? Boco est là pour te sauver ! Le concept a été créé à Paris en 2011 — où il compte à ce jour 6 restaurants — par les frères Ferniot qui baignent dans la gastronomie depuis toujours et il débarque donc chez nous du côté de l’Avenue Louise.
Sa marque de fabrique: une passerelle entre restauration rapide et restauration traditionnelle avec une envie évidente de bousculer les codes de l’une comme de l’autre ! On prend le côté easy et rapide de l’une mais on privilégie le côté qualitatif et gastronomique de l’autre. Top combinaison !
Justement, parlons gastronomie ! Les plats sont imaginés par de grands chefs cuisiniers (tous étoilés, par exemple Pierre Wynants et Lionel Rigolet pour les chefs belges) et pâtissiers (Paul Wittamer qu’il n’est plus besoin de présenter non plus ou encore Christophe Michalak ou Philippe Conticini pour les Frenchies de service), d’abord choisis au feeling pour leurs grandes qualités humaines mais également pour leur choix d’ingrédients hautement qualitatifs ou encore leur technicité parfaite qui les autorise à tout se permettre, même en bocal où la stérilisation n’a pas sa place et où il faut donc s’adapter.
Une belle brochette de chefs, de concepteurs, d’actionnaires pour un bien joli projet !
L’idée de mettre toute cette bonne nourriture en bocaux apporte un indéniable petit plus «madeleine de Proust «qui nous ferait presque verser une larme, sans oublier qu’outré le fait qu’on mange directement dedans, évitant de la vaisselle inutile et le gâchis d’emballage, c’est pratique où que l’on soit, puis bien sûr on les emporte chez soi et on peut les utiliser pour plein d’autres choses une fois lavés !
J’avoue qu’en voyant les prix, de prime abord je me suis dit «oups, un peu cher pour un si petit repas «mais à y voir de plus près, ces Boco qui n’ont pas l’air de contenir grand-​chose sont finalement sans fond ou presque et on sort de là repus, avec par exemple un Boco entrée + un Boco plat en menu du jour à 12 € ou un Boco plat + un Boco dessert en menu du jour à 10 € ou encore un menu imposé 3 Boco pour 15 €.
Autre indéniable plus: certains plats sont végétariens (v) et/​ou sans gluten (épi de blé barré).
Chouette petite adresse où je retournerai avec beaucoup de plaisir, l’endroit étant en plus agréablement cosy en ces journées qui vont bientôt devenir froides et grises.

L’enseigne nous vend de «grands plats» dans de petits bocaux transparents mais la réalisation finale est décevante. Pour un prix assez élevé, les plats sont fades et même mauvais pour certains. Très déçu…

Acceuilli ce 30 octi a 16h20 par une charmante demoiselle plein de sourir. Endroit calme. Reconfortant, ou l on sassis sur des petit fauteul. Prix tres tres abordans. Pas cher du tout avec transport en commun pas loin :)

Boco, la recette qui met des chefs étoilés en bocaux cartonne en France depuis plusieurs années et s’installe désormais à Bruxelles.
Ouvert depuis moins d’un mois, ce bistrot resto (et non magasin comme on pourrait le dire ou l’entendre) propose le trio entrée, plat et dessert à consommer sur place ou à emporter. Que propose t’il de différent?
Le contenant: un bocal. Transparent, solide, réutilisable, on voit ce qu’on va manger
Le contenu: des recettes de chefs (sans pour autant avoir l’illusion de manger au Comme chez Soi, gardons les pieds sur terre), à réchauffer ou froides, avec une carte qui évolue au fil des saisons.
C’est grand, coloré, accessible financièrement…mais un second passage s’impose pour que je sois convaincue. Je né doute pas du potentiel, juste que j’y vois pour l’instant un Exki plus haut de gamme et c’est certainement plus que cela, enfin je le pense.
3 étoiles et un avis qui appelle à être revu ultérieurement, très certainement